She's mine

02. Tricot & dettes

Élara
New-York, apparemment. 14h.

Une semaine plus tard.

— Jeremy m'a prévenu que l'entretient serait une mise en situation, tu assurera le service de ce soir. M'informa Ébène en ce regardant dans mon miroir. Tu dois y être vers 20h. Précisa t'il.

— Ébène c'est très gentil mais j'ai réfléchi et je ne pen-

— Si tu prends se travail tu pourra arrêter les deux autres, me coupa mon ami en ce retournant vers moi, le salaire et de 1500 $, sans compter les pourboires qui sont assez élevés.

1500 $ ?!

Avec mes deux travailles accumulé je me fessait à peine 1000 $.

Je pris le temps de réfléchir, j'avais déjà était serveuse dans un café pendant deux ans, cela ne devrait pas être différent. Même si être serveuse dans une boîte de nuit m'allait pas être là même chose, surtout dans une boîte comme le Mynothor.

— D'accord... Je ferais l'essaie, mais je dois aller chez Madame Dimitri avant. Je me leva de mon lit et pris un pull dans mon placard. Tu peux me prêté ta voiture ?

— Bien sur ! Il es hors de question que tu rentre à pieds ou en Uber.

— Je n'ai pas assez d'argent pour un Uber. Rigolais je. Merci !

Je pris une veste et mon sac et me dirigea vers la sortie.

Madame Dimitri était une vieille dame qui habiter la maison en fasse de la mienne, je l'ai toujours connu. Quand mon père faisait des heures supplémentaires je me rendais chez elle pour jouer avec son chien et manger pleins de gâteaux.

Maintenant elle était assez âgée et ne pouvait plus faire grand chose toute seule, je faisais ses courses, je l'emmener faire des emplettes et deux fois par semaine j'allais faire le ménage. Elle payer ce qu'elle pouvait et cela m'allait.

Madame Dimitri s'approcher le plus d'une grand-mère, on discuter pendant des heures et quand il faisait beau elle m'initier au jardinage. J'aime beaucoup les plantes et les fleurs, faire du jardinage avec elle me permettait de m'évader. C'était un moment de pause que je chérissais. J'étais impatiente que le printemps arrive.

Je passer toujours de bons moments avec elle, elle m'apporter la chaleur et l'amour d'une famille que j'avais perdu. Pour ce rendre dans mon ancien quartier j'en avais pour dix minutes, si je ne me prenais pas tous les feux rouge.

Une boule de nostalgie ce former dans mon ventre à chaque fois que je venais ici, rien ne bouger, tout semblait figé dans le temps. La façade de ma maison d'enfance semblait elle aussi intacte et protéger du temps qui passer, j'avais la gorger serrer en voyant les volets vert pastel de la chambre que j'occupai.

Après m'être garé, je m'engouffrât dans cette maison au couleurs explosives. Son entrée était composé d'une tapisserie « queue de pan » et d'un sol marron foncé qui faisait ressortir les meubles jaune canari.

Cette vielle dame était pleine de vie et aimais beaucoup trop la couleur.

— C'est Élara ! Dis je pour la prévenir de ma présence.