14. Appartenance

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Élara
New-York, chez Madame Dimitri. 14h.

Une semaine plus tard.

— Ca ma vraiment fait plaisir de t'avoir toute la semaine, ma petite Élara ! Me dit la vielle dame en me tenant la porte.

— Oui c'était une semaine de congés très agréable. Lui repondis-je en lui adressant un sourire.

J'avais passer la  totalité de mes vacances avec madame Dimitri, cela m'avait fait un bien fou. On avait préparer son jardin pour y planter des fleures et des légumes quand le printemps sera complètement installer. On avait également décorer très rapidement la chambre que j'occupais, elle m'avait acheter un nouveau lit ce qui m'avait mit très mal a l'aise. Pour la remercier j'avais fais les courses pour la semaine.

Nous avions passer une semaine calme et reposante, je n'avais pas fais beaucoup de cauchemar et j'avais réussis a ne pas pleurer. Je ne pensais plus non plus a l'argent que je devais a Ilan, enfaite je n'avais presque pas penser a lui.

J'ai dit presque...

Malheureusement ses iris émeraude envahissais mon esprit quand l'ennuie me venait. J'étais complètement perdu et je me soupçonnais d'être une grosse folle. M'importe qui aurait tout fais pour garder des distance avec un homme pareil,mais moi je foncer dedans.

Je l'avais vu ôter une vie et pourtant je ne le trouver pas si dangereux que ca. C'était des sentiments très paradoxal, un jour j'avais peur de lui et le lendemain je l'embrassais. Ca m'avait aucun sens !

— Fais attention dans le bus,

— Oui, promis. Lui dis-je en rigolant.

Je mis mes écouteurs et prit la direction du bus, ce qui était pratique c'est que c'était la meme ligne de bus que celle de chez moi. Pour me rendre au mynothor je devais prendre deux bus et marcher quelques minutes.

La musique Another Love de Tom Odel ce mit a jouer dans mes oreilles, malgré toute la bonne humeur que j'avais ressentit chez la vielle dame j'avais toujours autant le cœur déchirer en deux. Ma mélancolie et ma tristesse etait des émotion tellement puissante quelles prenaient toute la place.

L'arrêt de bus ce trouver a dix minutes a pieds, nous étions dimanche et les rues étaient vide. Le mauvais temps n'arranger rien, le ciel etait presque noir et menacer de gronder.

J'ai choisit la bonne heure pour partir sérieux...

Way Down we go de Kaleo me mit la boule au gorge, j'étais incapable de changer de playlist. Comme un truc maalsain j'aimais intensément ce que me procurer ses musiques. La tristesse des paroles, leur intensité et l'histoire derrière me rappeler ma propre vie.

Des que la musique fu finis je sentie mes poils se dresser, une impression d'être suivie me colla a la peau. C'était une impression subite et violente. J'accélérais le pas au cas ou je n'étais pas folle, mais je savais qu'il fallait toujours écouter la petite voix qui te dit de courir.

Je me sentais en danger, j'ignorais d'où venait ce sentiment, mais il était fort et palpitait dans mes veines.

Je retirais mes écouteurs pour anticiper si une personne se trouvait derrière moi. J'aperçus l'arrêt du bus et me précipitai vers lui. Je regardais quand mon bus passait, dans 4 min. J'avais les jambes tremblantes et la respiration haletante.

Mon cœur s'arrêta quand un homme apparut dans mon champ de vision. Il avait un regard dur et froid, une cicatrice lui traversait le visage et ses yeux noirs me regardaient avec insistance.

 She's mine Où les histoires vivent. Découvrez maintenant