08. Dernier délais

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Élara
Mynothor.22h56.

Je ne m'étais pas arrêté depuis ce qui c'était passé avec « yeux vert », j'étais en perpétuel mouvements pour éviter de pensé à lui. Cette attirance que j'avais pour cet inconnu était incompréhensible, j'aimais les hommes gentils en général.

Mon style d'homme était à l'opposer de ce mec, j'aimais les hommes doux et calme et ce qui ce dégageait de cet homme tatoué de la tête au pieds était tout le contraire. Il semblait être mauvais et très dangereux et je n'étais pas attiré par ça en général. C'était frustrant de ne pas comprendre pourquoi mon corps était autant attiré par lui.

Il avait potentiellement abattu un homme et avait menacé mes amis, mais malgré ça, je l'avais laissé m'embrasser. J'étais même avide de ses lèvres. C'était troublant, il était troublant.

— Tu devrais prendre une pause. Me conseilla un des barman après un énigme aller retour. Tu carbure depuis presque quatre heures.

C'est vrai que je commençais à avoir mal aux pieds, ces talons était des objets de tortures. Mes nerfs étaient également à leurs maximum, j'avais recalé tellement d'hommes et de femmes que j'avais des envies de pyromane et d'incendier la boîte.

Je fis ce qu'il me dis en le prévenant que j'allais prendre l'air, l'ambiance était chaude et poisseuse, j'avais besoin de respirer un air qui n'était pas chargé en transpiration et d'alcool. Je pris la direction de l'entrée après mettre pris une boisson énergétique.

L'air me fit l'effet d'un calment et la rues était calme pour un mardi soir, le parking face à moi était rempli de voitures toute plus différentes les unes des autres.

J'aurais du prendre une veste.

Il commençait à faire de plus en plus froid c'est temps-ci, le froid qui arrivait signifiait le début des mois dans la nuit. Dès que l'hiver arrivé ma dépression faisait surface de façon permanente, avant la mort de mon père c'était ma période préférée.

— Ce ne serais pas ma petite perle ? Surgit une voix que je redouter.

Je me redressa du mur le cœur battant en apercevant Ricky marcher en ma direction, il était accompagné cette fois-ci. Je n'avais pas eu les 1 500$ de Kiena, elle devait me les remettre demain. Et j'avais jusqu'à vendredi pour lui remettre les sous.

— Tu m'as donner vendredi comme délais. Lui rappelais-je.

Il esquissa un sourire malsain en me relouquant de la tête au pieds' s'attardant sur mon décolleté. Un frisson de dégoûter frappa la colonne vertébrale.

— Tu sais, tu pourrais rembourser cette dettes tellement rapidement... Me dit-il la voix pleine de malice et de perfidie. C'est moi qui décide quand je réclame mes dettes, je suppose que tu n'as pas l'argent ?

J'essayais de paraître la plus sereine possible, je ne voulais pas qu'il voyant la terreur qui m'habitais. Je n'avais jamais tardé à payer cette dette, mais le coût de la maison avait été trop important et j'avais dû taper dans le peux d'économies que j'avais.

— Je l'aurais demain.

— Donc pas aujourd'hui. Dit-il en souriant.

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