Lui : Oh excuse moi pour mon geste déplacé, j'avais oublier ce léger détail. Mais laisse moi me faire pardonner en te souhaitant la bienvenue en Égypte !
C'est un homme roux aux yeux d'un marron assez clair qui doit avoir entre la trentaine et la quarantaine d'années, des tâches de rousseurs au niveau du visage qui se tient face à moi.
La tenue qu'il porte n'est pas vraiment adapté pour des situations comme celle-ci mais plus pour de grandes occasions. Il est vêtu d'une chemise blanche accompagnée d'un blazer noir et d'un pantalon de la même couleur, des italiennes aux pieds.Une multitude de questions s'accumulent dans ma tête...
Qui sont ces gens ? Pourquoi m'avoir kidnappée ? C'est mon père ? Où suis-je exactement ?
Moi : Voyager d'un pays à un autre, c'est que vous avez très peur de vos ennemis. Vous voulez fuir la peste ou quoi ?
Face à mes mots, l'homme me tire les cheveux en arrière. Je crois que ma remarque a touché son ego mais cela m'est bien égal.
Lui : Je n'ai peur de rien, gamine.
Les hommes sont vraiment nerveux ou c'est moi ?
Au point de levé la main sur une femme quand ils n'ont pas ce qu'ils veulent, cela montre vraiment qu'on a un réel impact sur eux.Moi : Ma remarque t'a blessé ? Je suis désolée, ce n'était pas mon intention.
J'annonce ça sur un ton ironique bien qu'il a l'air de remarquer. Ce n'est plus un regard moqueur mais un regard sombre qui est posé sur ma personne.
Un petit sourire provocateur se dessine sur mes lèvres en voyant son visage.
Lui : Sale petite garce.
Je me contente de rouler des yeux face à son insulte qui me fait absolument rien.
Moi : Qui êtes vous ? Que me voulez vous exactement ?
Il me contourne avec nonchalance tout en m'analysant. Il a pas eu le temps de le faire quand il m'a drogué ?
Connard ai-je envie de lui balancer en plein visage.
Lui : Pour être honnête avec toi, c'est pas toi que j'espèrerai avoir dans mes filets.
C'est une blague ?
Je le regarde ne comprenant pas là où il veut en venir.
Moi : Comment ça ?
Il souffle.
C'est toi qui me kidnappe et tu as le culot de me souffler au visage ?
Lui : On ne m'avait pas dis que tu étais aussi bavarde.
Moi : Tes commentaires, tu peux te les mettre là où je le pense. Comment ça « tu espérais avoir quelqu'un d'autre dans tes filets » ?
Il fait quelques pas vers moi et me presse fort par les joues ce qui laisse ma bouche échapper un léger gémissement de douleur.
Lui : Tu peux pas fermer ta putain de gueule et arrêter de poser des questions !
Moi : Ça me tente pas trop.
Je continuerai de le mettre à bout jusqu'à qu'il me donne les réponses à mes questions. Commencer à ouvrir sa bouche pour entamer un sujet sans jamais terminer est une chose que je déteste et je compte bien le lui faire comprendre.
Tu commences, tu termines.
Il sort son pistolet de sa poche arrière qu'il presse contre mon front.
« Peut être qu'en pointant une arme sur elle, elle la fermera peut être et obéira à mes putains d'ordres »
Voilà ce que j'arrive à lire dans son regard perçant. La seule chose que j'ai réussi à retenir de cet homme c'est qu'il ne sait absolument pas contenir sa colère. Pas besoin qu'il ouvre sa bouche pour le savoir, il suffit seulement de le regarder.
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TASNIM : Pour le meilleur et pour le pire. ( CORRECTION )
RomanceHistoire fictive Plagiat et réécriture interdits ! Tasnim, fille du couple royal d'Arabie Saoudite, qui se retrouve dans un bourbier : son géniteur a fait une promesse dans le passé, qu'il n'a pas su tenir face à quelqu'un dont il avait sous estimé...