TASNIM : Pour le meilleur et pour le pire. ( CORRECTION )

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J'éprouve une haine immense envers cette femme rien qu'en la voyant en face de moi. Femme vêtue d'un haut noir constitué d'un petit décolleté en triangle ainsi qu'un jogging gris pas très propre et des claquettes au pied.

Une clocharde ? C'est l'apparence qu'elle donne a l'instant où je l'a toise.

J'espère que Nour ne croisera pas le regard de sa mère dans cette tenue car si elle prend exemple sur elle , on est mal barré.

C'est qu'après toutes ces années qu'elle décide de faire son retour ? Culotté celle là , elle n'a pas changé et elle changera jamais malheureusement. En revanche , j'en connais une qui ne va pas être enchantée à l'idée de voir mon ex qui est aussi , la mère de ma fille sous notre toit.

Mes sourcils se froncent , je me retiens de lui envoyé mon poing à la figure mais je ne suis pas un fils de pute pour frapper les femmes.

Je me suis peut être comporter de manière violente à l'égard de Tasnim mais j'ai toujours fais en sorte qu'elle n'est aucune égratignure ou de grave blessures. Que ce soit de ma faute ou celle des autres.

Cette femme me sera d'une aide très précieuse dans les mois avenirs mais je n'en dirais pas plus pour le moment.

Moi : Qu'est ce que tu fous ici ?

... : T'es devenu tellement...

Tellement quoi.

... : Tellement beau et...toujours aussi sexy.

C'est toujours accompagné de ses petites larmes de crocodiles qu'un petit sourire se forme sur ses lèvres. J'éprouve aucune pitié envers cette petasse de seconde zone , seulement du dégoût.

Si elle croit m'avoir avec ces petites paroles en l'air , elle peut toujours rêver.

Moi : Je n'ai pas demandé de compliments surtout pas de ta part donc si tu pouvais seulement te contenter de répondre à ma question , qu'est ce que tu fais ici ?

... : J'ai...j'ai besoin de toi , Zackarya.

Moi : Tu pouvais te passer de mon aide pendant ces années passées donc tu t'en sortiras sans moi aujourd'hui. Tu peux faire demi tour pour aller rejoindre le connard qui te sert de mari.

J'allais fermer la porte de la villa mais son pied m'en empêche , elle va jamais me lâcher décidément.

... : C'est de ça dont j'aimerais te parler.

Moi : Si tu ne veux pas que je t'enterre vivante pour avoir penser que tu pouvais revenir dans ma vie quand cela te chantais , je te conseillerai vivement de partir d'ici.

Je lui tourne le dos , j'allais retourner à mes occupations jusqu'à ce qu'elle me prend par le bras.

... : Attends.. je veux seulement te montrer quelque chose , ça ne sera pas long.

En soupirant , je décide de me retourner à nouveau pour être face à elle. Je lui lance un regard noir tandis qu'elle me regard avec un air innocent , elle me dégoûte.

Moi : Bah dépêche toi qu'on en finisse , je n'ai pas tout mon temps et encore je suis gentil , tu mérites même pas que je t'en accorde. J'ai une famille qui m'attend à l'intérieur au cas où où tu ne le saurais pas.

Ses yeux s'écarquillent en entendant ce que je viens de lui communiquer , on dirait que cela a eu un impact sur elle intérieurement mais je m'en fiche royalement.

On récolte ce que l'on sème.

... : Tu...tu es-

Moi : en la coupant Oui je suis marié et alors ? Maintenant montre ce que tu as à me montrer et en vitesse si ce n'est pas trop demander.