C'est une impasse

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Le crépuscule s'étend par devant, opuscule singularité sans aparté sens figuré. Le gâteau est un mensonge, un râteau pris des songes qui pourtant éponge le penaud sanglant, pourri des dents et de la langue, tangue dans les étangs, exsangue de nonchalance. La récompense est loin devant, l'effort vain plaît aux morts, mais alors que les pierres se dressent sur ses lèvres, les merveilles deviennent réelles. Rêve de Zamor inassouvi, vermeil piscine chorale des épines, spectrale des fonds sédiments où les orteils ne touchent, et où les oreilles se bouchent. Un zombie porté par les vents et les eaux, partition des chants et des mots, en inanition permanente de couteaux, de hachoirs maladroits et de scalpels infidèles.
Inutile d'en dire plus, évidemment. Le crépuscule d'octarine s'étend, et il est bête d'en espérer plus. Qu'attends-tu clone tétanisé par la torpeur? Tancé d'amateur alors que tu somnoles. Charon est à l'horizon ce que les myrmidons sont de l'ambition.

Sans-titre / Notes InachevéesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant