Le déluge des océans vient des violents centrifuges, d'un œil sans pareil où le soleil passe le seuil. Tout le monde le sait, et tout le monde n'en fait rien, ça serait vain. C'est comme ça. C'est récurrent, ça vient ça s'étend, changeant aux températures d'une désinvolture anthropologique à toute voilure, névralgique penchant suicidaire, utilitaire antiseptique pansé l'irrationnelle, bouc émissaire criminel séculaire tout naturel tout artificiel. Caracolent les accusés sans foi ni loi, parabole habituée des couards et des ignares. Peu importe l'importance, peu importe les chances, les résiliences et les latences, la solastalgie est une maladie, mélancolique folie. Une affliction, perdition spirituelle, substantielle érosion non intérieur, sans valeur, de cent noms d'imposteurs. Comment la chasser? La paranoïa prend pied dans la réalité.
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Sans-titre / Notes Inachevées
PoetryOn n'a jamais vraiment voyager tant que l'on est pas rentré chez soi. Pour ma part, cela fait bien longtemps que je ne suis pas revenu à la maison, la tête perdue sur les hauts des immeubles à loyer modéré, et les pieds en dehors des chaussures usée...