Le drame est sans équivoque,
Bien présente à nos époques
Mais qui, d'apparence baroque,
D'une façon que l'on se moque,
Soliloque les ventriloques.
Les canaux sont moins qu'inexistants.
Les funambules, ces fiers pédants,
Se croient et s'avouent intelligents
Lorsque les éloges apparents
Ne les font pas passer pour passants.
Les images sont ce qu'elles sont,
Peu importe les mots les raisons,
La logique ou toutes chansons,
Les images sont ce qu'elles sont.
Ils ne sont là que pour les galons.
Les canaux sont imaginaires.
D'aucuns de leurs planches agraires
Ne verraient de pareilles paires
Car s'ils cherchent y faire jachère,
Il faut passer par l'annulaire.
Le drame reste un délice,
Mais inhibe, et par malice.
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Sans-titre / Notes Inachevées
PoetryOn n'a jamais vraiment voyager tant que l'on est pas rentré chez soi. Pour ma part, cela fait bien longtemps que je ne suis pas revenu à la maison, la tête perdue sur les hauts des immeubles à loyer modéré, et les pieds en dehors des chaussures usée...
