Alors pourquoi pas?

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Des mots, toujours des mots, de faux, causes de tant de maux.
Tant de latentes souffrances pourtant closes, aucune prose ni autres couteaux attendent de couper, là-dedans.
Là-dedans, le simulacre se dissout, tours céruses nacrés perçus par-delà les buttes, les sutures des à coups de la croûte suppure des mous du manteau, malaxé des remontées pétrogène frelatées péridot déchets, magma visqueux mélange volatile meilleurs compatibles vivaces et vitrifiés par-delà.
Elles ne sont que reliquats, des tours elles ne sont qu'en deçà, passées de Charybde en Scylla, caracolent les trônes et les rois.
Où sont-ils ? Le mal est passé, le mal est déjà fait.
Il se reproduira, de loin ou de près.
Qu'as-t-on fait des cathédrales? Des calices scolastiques et des catalyseurs si charismatiques?
Qu'as-t-on fait de l'art? Des ecclésiastiques, archéen primitif artisan des vivants pourtant persistant, et des hérétiques anthropocène errants en attente mais persévérants?
Des non retour, les soustractions ne sont qu'exceptions, les aberrations voient alors le jour.
Ciel nocturne éternel, d'étoiles et de merveilles, dans les voies et les croix surgissent les macabres cadavres, catéchisme de l'ultime évangéliste, hécatonchire eschatologique, portes d'os des eaux organoleptiques, des horreurs de la nuit et des tours dormantes, les shoggoths chantent et prient.


Sans-titre / Notes InachevéesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant