Les bras m'en tombent alors que la méthode devient nauséeuse, sur cette flèche directionnelle à queue et tête creuse. Les tourbillons n'en finissent pas, mignonnes ignominies violentes, d'une hargne obsédante des danses de l'extase, tourne ci dans les murs, tourne là dans la phase, vire les purs, dévire clase, chante. Ça va vite, me disait mon ami, et ça va plus vite lorsqu'il est déjà loin, à l'instar d'un doppler révoltant qu'on ne peut ni imaginer, ni contrôler. Le mal a déjà été fait, et il se reproduira, de très près, mais aussi de très loin, un larsen insoutenable ne voulant strictement rien dire, mais reste preuve de la plus grande des évidences. Que dire de plus ? Pas besoin de parcourir l'océan pour savoir qu'il est salé.
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Sans-titre / Notes Inachevées
PoesíaOn n'a jamais vraiment voyager tant que l'on est pas rentré chez soi. Pour ma part, cela fait bien longtemps que je ne suis pas revenu à la maison, la tête perdue sur les hauts des immeubles à loyer modéré, et les pieds en dehors des chaussures usée...