La nuée du couloir veille. Poussière photon méteil, pare de diaprés peilles le miel rouge sans pareil. De ce désireux, ne reste qu'un malicieux, le mandibuleux glouton venimeux. Krakenique tempétueux claque thalassoclastie d'éclats rocheux écumeux, mécanique mur de raz terreur de Charybde Scylla. Un rêve qu'il avorte au delà de la porte, car qu'au fond de la ligne il ne peut s'en montrer digne. Sous les nuées, ses bouteilles. Sous les nuées, ses merveilles. Sous les nuées, son carmin vermeil. Au delà de sa porte, salive la cohorte et, s'il voulait que ne périssent ses six-cent soixante-six, il devra jouir ses vices.
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Sans-titre / Notes Inachevées
PoesíaOn n'a jamais vraiment voyager tant que l'on est pas rentré chez soi. Pour ma part, cela fait bien longtemps que je ne suis pas revenu à la maison, la tête perdue sur les hauts des immeubles à loyer modéré, et les pieds en dehors des chaussures usée...