Et cela retire tout l'intérêt du néant, qui mérite d'être vécu. Suffit les occupations, ils prennent tout mon sang, mon temps précieux sans raison. Et quelle violence... Le silence est nu de sa forme pure, mu en exotisme sourd, un simple mutisme ci, là un incroyable tour, pour tromper un aval aigri. Le ciel gris en contrebas, nous voilà perchés au toit pour y marquer nos astres, des reflets verticaux vains des rêves des terres vertes de terreurs et d'angoisses des matins. Une piètre consolation. Demandons-nous l'impossible, pour autant vouloir le réaliser ? C'est bien trop éphémère.
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Sans-titre / Notes Inachevées
PoetryOn n'a jamais vraiment voyager tant que l'on est pas rentré chez soi. Pour ma part, cela fait bien longtemps que je ne suis pas revenu à la maison, la tête perdue sur les hauts des immeubles à loyer modéré, et les pieds en dehors des chaussures usée...
