La belle et le Roux [ShanksxOC]

XXXVI ❦

La bataille de Marine Ford est terminée, Juliette a sauvé Portgas D. Ace de justesse, ce dernier va désormais se cacher du reste du monde, qui le croit mort.

Après d'émouvantes retrouvailles avec son Capitaine et son équipage, ainsi que des au-revoir pleins d'émotions aux différents pirates de feu Barbe-Blanche, Juliette repart à l'aventure sur le Red Force.

Shanks pourrait vous le confirmer sans hésiter, il n'y a rien de mieux pour bien commencer la journée qu'une bonne féfé.

Une chance pour le pirate, il n'était pas rare que Juliette se réveille avec des pensées lubriques. Prenant bien garde à ne pas lui imposer quoi que ce soit dans son sommeil, parce que le consentement, c'est important, elle avait maintes façons de se faire comprendre. Parfois elle parsemait son cou de baisers particulièrement explicites, parfois elle caressait son ventre comme pour demander la permission de descendre plus bas.

Et parfois elle était... beaucoup moins subtile !

- Shanks, l'appela-t-elle pour qu'il se réveille. Ô Capitaine, mon Capitaine.

- Hum... répondit-il dans un grognement.

- J'ai envie de te pomper le chibre jusqu'à en faire une fontaine à foutre.

Il ouvrit les yeux, tourna la tête vers son amante et haussa un sourcil.

- Oui oui, je sais, je n'suis qu'une petite dépravée, souffla-t-elle.

- Tu es pire qu'un ado en rut, confirma le rouquin, mais je m'en voudrais de faire barrage à tes désirs.

Juliette pouffa, embrassa son amant et disparut sous les draps en moins de temps qu'il n'en faut pour dire One Piece.

Fermant les yeux pour mieux se délecter des faveurs de sa compagne, le capitaine pirate passa son bras sous sa tête afin d'éviter qu'il n'aille machinalement sur celle de Juliette, il savait que c'était quelque chose qu'elle n'appréciait pas beaucoup.

Shanks savourait la sensation de la langue de sa nakama qui allait et venait sur sa verge, tout autant que celle de ses doigts se frayant un chemin vers son fondement, avec le temps Juliette avait appris que son compagnon était sensible de la prostate.