Lettres/poèmes de Timothé Blacke

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L'espoir que le son de tes battements de cœur disparaissent sous mes larmes, pour les noyer. Un échec ça a était. Probablement vide pour le rentrant de ma vie je contemplais nos souvenirs dans ma tête, passant comme un film nostalgique. Je sentis mon cœur se serrer dans ma poitrine conscient que tu ne la touchera plus jamais. Malgré ma solitude habituel, ton ombre a chassé la mienne pour qu'elle bronze vaguement. Vagues que tu as conçues agitant la mer de mon cœur l'alimentant. Des éclats d'amertumes à la suite de ton départ ornent ma peau.

Oubli de l'amour
Oubli de tes mains
Malade de ton secours
Je connais pourtant le chemin

Conservation des souvenirs
Fatigué des larmes
Las(se) de souffrir
Cœur tu poignardes

Besoin de souffrir encore un peu
Pour toi, pour nous
Sentiment honteux
Cœur doux

Fatigue de l'âme
Un éclat silencieux
Fissurer par des lames
Un cœur anxieux

Une haine profonde
Pour soi
Pour le monde
Qui remplace sa joie

Des pluies d'amours elle donnait
Des ombres elle recevait
Essoufflée elle était
Une fatigue de l'âme elle ressentait

C'est épuisant de ne pas réussir à t'aimer correctement. Nos cœurs ne savant pas viser juste, remplaçant nos caresses par des baisers et des rires par des larmes. Mensonges remplacent nos promesses. J'ose espérer qu'un jour tout ça s'arrête que nos vie, nos têtes, nos cœurs, nos pensées se calment pour faire place a l'arc en ciel que nous méritons.

Je te regarde dans les yeux
Contemplant l'infinité
Pensant à tes adieux
Y'a-t-il une autre possibilité ?

Je t'offre tout de moi même ce que j'ignore
Sans que tu le saches
Puis c'est notre épilogue
Et j'ai été lâche

J'espère qu'une partie de ton cœur porte mon nom
Comme le tien qui couvre toute mon existence
Condamnes nous étions
La distance est une évidence

Contemplant la pluie je songe à toi, à tes yeux qui me regarderaient, je tente d'oublier la sensation de ton cœur collée au mien, de tes pensées alignaient aux miennes. Le souvenir de tes larmes glissant sur ma peau causé par mon âme. Je ferme les yeux. Fredonnant l'air de nos baisers, qui vivent dans mon esprit avec pour spectateurs des feu d'artifices.

Je veux pouvoir regarder le monde avec toi, parce que ça se fait à deux, les souvenirs doivent être communs, je veux que tu me prennes la main. Que tu me guides, lentement; jusqu'à la mort. Je veux pouvoir fermer les yeux et me dire que je suis avec toi, que j'ai pardonner à ce monde. Que je t'ai fais confiance. Que je t'ai aimé. Que tu as été ma chute et mon sauveur. Je veux pouvoir penser que je suis au même niveau que la pluie à tes yeux.

Tu es loin de moi. Mais tu es près.

J'erre dans nos poussières, nos premiers souvenirs innocents. Je pense à toi.

Mon évidence c'est toi. Mon horloge. Ma boussole. J'ai déposé du temps, tout mon temps sur ta chair. Tout mon temps t'appartient. J'ai peur que tu ne saches jamais à quel point je t'aime.

Effrayé je pense à toi.
Mais je n'ose pas venir à toi.
Penses tu aussi à moi toi ?
M'aimes tu toi ?

Ton parfum enlace mes insomnies
Ton ombre me suit
Je tente d'entendre ta symphonie
Mais ce n'est que tes yeux qui me poursuivent

Et les miens se ferment ( ajout de Louis )

Les ombres du lendemainOù les histoires vivent. Découvrez maintenant