11. En vouloir toujours plus

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Joshua

Elle s'était jetée sur moi. Elle voulait que je m'occupe d'elle. Elle avait ce regard remplit de désir et cette moue auxquels je ne pouvais pas résister. Ce qu'elle était bandante déjà tout excitée comme ça. Ma bite était déjà tendue à l'extrême.

Je voulais la baiser, la faire crier de plaisir, défoncer sa petite chatte. Mais nous n'étions pas seuls alors j'allais devoir me contenir un minimum pour ne pas laisser toutes mes envies faire trembler cette maison. Il s'agissait de mon futur beau-père. Bien qu'il ait accepté que j'épouse Anabel sans émettre une quelconque réticence, je me devais de ne pas faire en sorte qu'il regrette son choix.

Je la déposai près du lit et allai fermer la porte. Je sentis ses mains se poser sur mon ventre et descendre sur ma queue alors que je tenais encore la poignée. Je me retournai, je lui attrapai la mâchoire pour bouffer ses lèvres qui m'aguichaient. Elle était dans un tel état.

Putain, tu me rends fou mon amour !

-- Impatiente, souris-je. Avant j'ai quelque chose pour toi, déclarai-je en sortant l'écrin de ma poche.

Elle écarquilla les yeux, son visage s'illumina. Elle rayonnait, je la trouvais tellement belle. Je lui souris comme un abruti et j'ouvris la petite boite. Elle découvrit un solitaire en diamant simple et délicat comme elle. Ses yeux oscillèrent entre mon visage et la bague.

-- Oui, souffla-t-elle.

-- Je n'ai posé aucunes questions, m'amusai-je d'elle.

-- Oh, je vois, reprit-elle en plissant les yeux.

Je m'approchai doucement d'elle en ne la quittant pas des yeux. Je lui mis la bague sur son annulaire gauche, elle lui allait à la perfection. Je relevai son menton pour l'embrasser chastement sur la bouche.

-- Je t'ai dit que je te passerai la bague au doigt ma belle, commençai-je entre deux baisers. Et que tu deviendrais ma femme, tu seras bientôt à moi pour toujours.

Elle m'embrassa avec une telle intensité. Elle mordit ma bouche avant d'aspirer ma langue autour de la sienne. Elle commença à me déshabiller impatiente. Elle embrassait et me mordait ma peau qu'elle découvrait à mesure qu'elle enlevait mon t-shirt. Elle caressa ma bite au travers de mon pantalon, ce qui me fit grogner.

Tu es tellement indécente ma belle, tu n'as pas idée de ce que ça me fait quand tu es comme ça !

-- Putain Anabel, tu me rends fou, râlai-je en chuchotant.

Elle se redressa. Elle planta ses yeux dans les miens. Son regard était traversé d'éclairs de désir et de défit. Elle était sauvage, animée d'un appétit féroce. Elle m'embrassa fougueusement et m'enleva mon pantalon et mon caleçon. Elle caressa et joua avec mon gland mis à nu. Je lui enlevais ses habits, je voulais sentir sa peau contre la mienne.

Je pris d'assaut sa poitrine. J'en martyrisai ses seins qui étaient encore plus pulpeux qu'avant. Elle laissa échapper des petits gémissements en réponse à mon attaque. Je jubilai de la voir si réceptive à mon toucher.

-- Il va falloir être silencieuse, lui ordonnai-je le plus bas possible.

Je la sentis contenir ses râles et se mordre les lèvres alors que je continuais de torturer ses seins. Elle nous fit reculer jusqu'au lit où je m'allongeai en l'emportant avec moi.

Elle enleva d'un geste brusque mes mains qui s'occupaient encore d'elle. Elle redescendit le long de mon corps qu'elle embrassa et marqua de ses dents sur son passage. Elle n'était pas tendre, elle était déchainée.

Ecorchés Tome 2 (Correction)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant