Il s'appelle Lando Norris, et depuis près d'un an, Ella Brown travaille dans sa production de médias. Sa vie quotidienne tourne autour de lui, capturant ses moments en photos, en vidéos, et créant des vlogs pour ses réseaux sociaux. Au fil des mois...
Le soleil brille intensément dans le ciel azur du Qatar alors que j'arrive sur le circuit pour le Grand Prix. C'est un mercredi, un jour off avant le début des hostilités du week-end de course.
L'air chaud et sec enveloppe le circuit. Je me promène dans le paddock, observant les mécaniciens s'affairant autour des voitures, et l'effervescence générale qui précède chaque Grand Prix. Je prends le temps de saluer quelques visages familiers, de discuter avec des membres de l'équipe de McLaren.
Le Qatar, avec son circuit ultramoderne et ses installations de pointe, offre une toile de fond spectaculaire pour l'un des événements les plus attendus de la saison de Formule 1. Je repère soudain Carlos, en pleine discussion avec un membre de l'équipe.
E : Carlos ? M'étonné-je en m'approchant. Tu es déjà ici ?
Carlos relève la tête de sa conversation et esquisse un sourire chaleureux en me voyant.
C : Ellaaaaa ! Je suis content de te voire ! Tu m'as évité la semaine dernière en Italie. Dit-il avec une mine toute triste.
E : J'ai promis que je me rattraperai cette semaine. Dis-je avec un air désolé.
C : Bah ça tombe bien c'est midi, on mange ensemble ?
E : Avec grand plaisir monsieur Sainz.
Carlos m'invite à le suivre vers la zone des stands où le team Ferrari a aménagé un espace repas. Le paddock bourdonne d'activité, mais une atmosphère détendue règne ici. On s'installe à une table et il entame la conversation.
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C : Ça avait l'air assez tendu entre toi et Lando au Japon.
E : Tu parles de la soirée au club ?
C : Oui, vous êtes partis assez tôt et pas très heureux.
Il me fixe du regard afin d'essayer de déceler le moindre indices.
C : Qu'est ce qu'il se passe Ella ? Ça fait un moment qu'on ne sait pas retrouver pour parler. Tu viens plus faire tes séances de psy chez tonton Carlos.
Je rigole à la suite de sa phrase.
E : T'es pas nette toi. Tonton Carlos ça fait pervers un peu.
