Aujourd'hui je m'étais réveillée avec un horrible mal de gorge. Je pense que c'est l'effet du poison que cet idiot m'a obligé à respirer hier. J'essaie de dire quelque chose mais les mots restent coincés dans ma gorge. Non mais c'est quoi ce gros délire ? Je marche vers les toilettes pour me rafraîchir en essayant toujours de faire sortir des mots de ma bouche. Et bien quelle atroce expérience. Je descends pour le petit déjeuner et pries que personne ne me parle jusqu'à la fin, car je ne veux pas voir sa tête satisfaite quand il entendra ma voix. J'arrive dans la salle à manger et pars m'asseoir à ma place. Je mangeais quand j'ai commencé à tousser sûrement j'ai dû avaler de travers. Alors Morgane court vers moi et me tends un verre d'eau.
- Mer ci Morrg ane!Ah j'ai au moins pu articuler une phrase. Surprise d'entendre ce qu'est devenu ma voix, Morgane me regarde de manière soucieuse et me dit.
- Morgane : madame ça va? Votre voix.
- Oui je pense bien que j'ai attrapé froid hier nuit.
- Morgane : je vais vous préparer une tisane.
- Non pas besoin j'ai déjà pris des médicaments.Après ces mots difficilement dit, je me mets à tousser d'une manière vraiment vulnérable. Je reprends l'eau et prends une autre gorgée.
- Flavio: tu as attrapé froid? Pourtant tout les chauffages étaient allumé hier, n'est-ce pas Morgane ?
- Morgane : oui effectivement monsieur.
- J'étais restée très tard dans le jardin c'est pour cela.
- Flavio : ah, évites cela à l'avenir, car tu dérange les gens autour de toi en toussant.Non mais écoutez le parler lui. Quand je pense que c'est lui qui m'a fait respiré cela. Je ne fais pas attention à sa remarque et continue mon assiette. Même pour avaler c'est tout un problème.
- Flavio : bizarrement on se s'est pas trompé sur tes produits, même une faible dose à un tel effet.De quoi il parle ? Que suis-je bête sous la colère je n'ai pas réfléchis au fait qu'il pouvait se demander ce que c'était.
- De quoi tu parles ?
- Flavio : à ton avis.
- Le produit d'hier était un parfum fortement alcoolisé que j'ai cherché au marché.Au lieu de me répondre il a plutôt préféré prendre une bouchée dans son assiette puis me dit.
- Flavio : ne me prends pas pour un idiot cateyla.Sous le choc qu'il ai prononcé ce nom, j'arrête tout ce que je fais pour ramèner tout mon attention sur lui.
- C'est qui cateyla ?
- Flavio : hahahhaha, je vois, tu me prends pour un triple idiot.
- Peut-être parce-que tu l'es.Il reprend soudainement son sérieux et me dit.
- Flavio : je sais qui tu es, cateyla. Tu pensais pouvoir être inconnu à Flavio Salvatore ? C'est mal me connaître.Comment je vais faire maintenant ? La mission est annulée ? Que vais-je dire à Gaston ? Je pense bien que je l'ai trop sous estimé.
- Flavio : à quoi tu réfléchis ? Un moyen pour me tuer?
- Je n'ai pas besoin de réfléchir pour tuer les gens de ton calibre.Il dépose tout les ustensiles et relève son regard sur moi.
- Flavio : tu penses pouvoir me tuer?
- Il suffit que je le décide.
- Flavio : que tu es bête ! Je te pensais un peu plus intelligente, mais bizarrement tu es aussi stupide que tes bottes.Je me lève de sur la table et retire mon arme qui était cachée dans ma robe et la pointe vers lui.
Mais comme je m'y attendais, il ne bouge pas d'un poil et se met plutôt a sourire comme un enfant amusé par une situation.
- Flavio : tu ne peux pas me tuer.
- Et pourquoi ?
- Flavio : sert toi un peu de ta tête, réfléchis pour voir.Je ne vois absolument pas de quoi il parle alors je relève juste la tête et positionne bien mon arme.
- Flavio : rien, tu n'as rien trouvé ?
Bon stupide jusqu'à la moelle alors.Il se lève et marche vers le Salon. Je le suis de près et approche mon arme à sa tempe quand il prend place sur le fauteuil en mettant ses pieds l'un sur l'autre.
- Flavio : Bien contemple un peu le spectacle.
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Eyla: Tuer avant d'être tué
Science Fictionpour moi la vie n'a qu'une seule règle : tuer avant d'être tuer. l'homme a beau condamné les animaux mais enfin de compte il se présente être même pire que ces derniers. Je dois survivre à tout prix, quitte à tuer le monde entier car si un jour une...