Chapitre 10:

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Si quelqu'un venais à me dire qu'une femme comme elle existe, j'en aurai douter. J'ai certes eu un père sévère et exigeant qui a fait en sorte que je sois cet être qui approche l'excellence mais ma mère elle a toujours été cette femme aimable qui a su me montrer ce que l'amour et aussi le respect que l'on doit porté à une femme. Mais elle, elle a ce don de me faire sortir de mes gants. J'ai certes résisté face à l'affront d'aujourd'hui mais si elle continue comme cela je ne pense pas pouvoir tenir encore longtemps. Je m'étais promis de l'humilier de la pire des manières mais voilà que c'est elle qui s'est bien donnée à cette tâche. Je tiens toujours mes promesses sinon aujourd'hui je sais que je n'aurai pas répondu de moi.
J'arrive enfin dans ma chambre et enlève ma veste taché de bleu pour la jetter au pied du lit. Un costume neuf commandé spécialement pour aujourd'hui, quel gâchis. Le comble j'arrive toujours à prévoir les choses de suspects bien en avance mais elle, elle a su très bien cacher son jeu.
cette femme est surnoise et son attitude d'homme de caverne lui enlève toute grâce alors devrais-je réellement la considérer comme une femme?

- Satanée créature.

J' enroule ma serviette autour de ma taille et me dirige vers les toilettes pour me débarrasser de tout ce bleu. Heureusement que les autorités ont vite reconnu le produit de démangeaison et ont donné la pommade pour lutter contre. J'arrête l'eau et sort des toilettes.

Je venais de mettre mes habits souples pour la nuit quand j'ai reçu un appel de Vincent. Il va sûrement me parler de la soirée, je n'ai pas envie d'en parler mais je décroche car il insiste.

- S'il te plaît n'en rajoute pas non plus, j'essaie déjà de calmer les débats.
-Vincent: que s'est-il passé ? C'est la première fois que tu foire une soirée et une soirée aussi importante en plus.

- Petit problème technique je préfère oublier cette soirée.
- Vincent : tu peux bien oublier mais les médias s'alarment déjà surtout avec les nombreuses hospitalisation.
- Je sais Vincent.
- Vincent : prépare toi à un article demain à la première heure.
- Je suis habitué à ce genre d'article, tu n'as pas à t'inquiéter. Il suffit que je fasse une interview où je présente mes excuses.
- Vincent : tu as raison et heureusement que les malaises ne sont pas trop risqué.
- Oui heureusement.

Il finit par me dire au-revoir et raccroche.

Je laisse sortir un long soupir et me laisse tomber sur le lit. Tu ne perds rien pour attendre Eyla.

PDV EYLA :

Aujourd'hui bizarrement je suis de très bonne humeur. Prête comme jamais à trouver quelque chose dans cette maison. Je descends en bas pour le petit déjeuner et bizarrement l'autre n'est pas à table. Bon tant pis peut être il pique une dépression dans son lit, ce qui serait fortement plaisant. Et le plus magnifique sont les articles de ce matin, Flavio salvatore apparaît sur toutes le pages comme le salle homme qu'il est et j'avoue que ça change de sa parfaite réputation de tout les jours. Héhéhé c'est cela les risques que l'on court si on s'amuse à défier Cateyla.
Après avoir pris un bon petit déjeuner je me lève et me dirige vers le salon. j'entends soudain quelqu'un parlé et Je reconnus aussitôt la voix. Donc je  m'approche pour entendre ce qu'il dit car il semble être au téléphone à parler avec quelqu'un d'un certain dossier très important. Je marche pour me cacher dans un coin et prêter l'oreille.

- Flavio: oui c'est ça, je vais vous l'envoyer pour le placer dans le coffre privé.
- Flavio : non il n'a rien à avoir avec l'entreprise.
- Flavio : oui c'est Manuel Larenzo.
- Flavio: tenez moi informé.
- Flavio : bien.

Puis il raccroche.
Il n'y a aucun doute il s'agit du dossier que je cherche. Mais s'il l'envoie encore loin je serai éloigné de mon objectif. Le comble je ne peux pas joindre Gaston pour qu'il intercepte le transfert. Je dois aller de moi même cette fois-ci on oublie Gaston. Je me retire dans ma chambre et attend qu'il sort pour mettre ma combinaison et descendre.
Je pars dans son bureau et défonce la serrure. Une fois fais je rentre et fouilles un peu partout.
- Bingo !

Eyla: Tuer avant d'être tuéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant