"j'emporterai avec moi les souvenirs
Qui seront mon soleil après la pluie"- It's so hard to say goodbye to yesterday
J'avance dans le couloir de l'entrée principale, tout est mort, comme à l'extérieur. Dans le noir, je reconnais porte, maintenant cassée, les casiers, déplacé et parfois même ouvert. Le sol même à l'air d'avoir changer. Le couleur n'est plus celui d'un établissement scolaire mais celui de « L'enfer en Direct ». Et je suis un de ses pions. L'ombre sait que je suis présente, je n'en doute pas, rien n'est laissé au hasard.
Je vérifie porte par porte, couloir par couloir, mais aucune Tessa en péril ne s'y trouve. Il y a seulement ces meubles et ces casiers défoncer.
Dans le calme destructeur j'entends des rires sournois mélangé à des pleures et des cris de peur. Je pourrais facilement comparé ça à la société mais le temps ne m'en laisse pas le choix, cours.
Je fonce au travers tout les débris pour me frayer un chemin vers cette chose. Je suis proche, très proche. Les rires deviennent presque insultant et les pleures agonisant. Mais je ne vois rien, il n'y a pas d'ouverture pour les voir de plus près. Rien qui me dit « Hey elle est là », qui saute aux yeux. Je respire bruyamment de tel façon à ce que l'on puisse entendre mon désespoir au travers mon souffle. Je ferme les yeux, le temps d'un instant de répits, reprendre ma respiration et réfléchir un peu. La réflexion ne dur qu'un instant, très vite je comprends que je les entends pour une raison, parce que c'est une ombre. Personne sur terre mis à par celle-ci ne sont capable d'entendre leur rire mis à pars si elles le souhaite. Je comprends aussi qu'elle n'est pas cachée dans l'école mais dans une partie où on n'accède pas en étant humain.
Je n'ai jamais fait ça, je n'ai jamais réussis à le faire. Me « transformer » en ombre sur terre, en le souhaitant. Mais cette fois, je vais y arriver. Je me concentre, mon cerveau entre en hibernation durant une minute et ma pierre prend le dessus. Je ne vois plus rien, je n'entends plus rien, une force prend possession de moi.
Mes reflex s'intensifient et ma vision se change mon un type vieux film des année 60, sans couleur. Mais tout est différent, l'école apparaît comme un sanctuaire avec une cinquantaine d'ombre qui voyage dans tout les coins des couloirs mais qui semble perdue. Elles n'ont aucune émotions, elles ne bougent que très peut. Leur « corps » semble éteins, détruit par une force plus grande que je nommerais tristesse. Des ombres dépressive ? Je n'y connais donc vraiment rien. Elles sont toutes là, gisant debout comme des morts éveillé, la tête baissée sans aucune envie d'avancer.
Je m'approche de l'une d'entre elles, je me tente à leur parler.
-Que faites vous ici ?
- It....'s ...Ha..rd To...Say..Good...bye.
(trad:C'est difficile de dire au revoir) L'ombre à une voix très grasses et carrément flippante, elle à quelques choses dans son timbre de voix qui fait qu'elle n'est pas humaine, un coté homme fâché robotisé qui se fait manger par des asticots purulent. Oui,c'est plutôt difficile à imaginer. Mais elle à cette vois là. J'essaye de continuer la discutions.
-Que ce passe t'il ? Où est mon amie ?!
- It....'s ...Ha..rd To...Say..Good...bye.
- Arrête de te foutre de moi ! J'cause pas Anglais moi ! Je sais pas parle Français, tu comprends pas que je cherche la personne la plus importante à mes yeux non ? Tu comprends pas toi.. à par ta petite tête d'ombre défraîchie il y a plus rien qui existe à tes yeux débilement noir !
Je crois que je l'ai vraiment mise en pétard. Parce que une seconde après elle relève la tête brutalement et viens m'attraper à la gorge pour me plaquer au mur. Je n'arrive plus à respirer, je suffoque, mes yeux commence à brûler. Elle me maintient en l'air et me crie une espèce de truc qui ressemble à un code.
- Collige nos auferant eam!
En un quart de seconde, toute les ombres qui rodent dans les couloirs, redressent la tête des carrelages de l'école et la tourne vers nous, moi occupée à agoniser et l'ombre qui viens de leur dire un truc dont mes quelques notions de Latin en sixième année me laisse croire que c'est de cette langue.
Elles se rapprochent toutes vers nous, cinquante ombres folle à liée qui marche au meme rythme dans les couloirs sombre de l'école, les supposés yeux planté sur moi. Elles avancent petit à petit et je me retrouve bientôt encerlée par tes ombres qui ne sont plus qu'à un metre de moi et qui continue d'avancer jusqu'à m'engloutir entierement. Elle me marche dessus, me pietine, je ne ressens pourtant rien, les ombres n'ont pas de pieds, je suis juste ensevelie par une buée noir foncée qui m'empêche encore de respirer. L'ombre commandant( celle qui cause Latin, je l'ai renommée comme ça) a arrêté de m'étrangler et l'air des corps sur les ombres s'en chargent jusqu'à me faire m'étouffer complètement.
Trou noir, vide intégrale. J'ai arrêté d'être consciente aujourd'hui.
VOUS LISEZ
Shadow.
Teen Fiction- Réveille toi Éline! Ils ne reviendront plus. -La mort n'emporte pas l'amour. -Tu es devenue complétement folle ? Vois la vérité en face. - Je fais comme tout le monde ,nier que le problème existe pour ne jamais avoir à le résoudre.