Chapitre 23

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" L'espérance serait la plus grandes des forces humaines si le désespoir n'existait pas  VH"

Un moment de silence insupportable  prend par de notre conversation que je n'avais fais que de commencer. Le genre de silence qui met mal-à-l'aise, celui qui ajoute une boule de bowling dans notre estomac et des insectes sur nos jambes, celui qui ferais s'enrouler de jupe les enfants les plus timides. Celui au quel je voulais remédier.
- Jim ?
- Tu te trompes, moi c'est David.
L'angoisse ronge ses cordes vocales et de ses mains il repositionne sa capuche grise sur ses cheveux. J'avais pus les reconnaître de son brun ténébreux devenu gris lui aussi de ce décors  d'ancien film. Le genre de cheveux que l'on oublie pas, toujours cet air décoiffé alors que des heures on pus être prise pour les ajuster.
- Jim, je sais que c'est toi.
- Ta gueule Ways ! Je ne suis pas Jim.
- Pas la peine de s'énerver.
- Excuse moi.
Peut importe ce qu'il me dit, je sais que c'est Jim. Et je sais aussi que quelque chose ou plutôt quelqu'un l’empêche de me livrer son identités.  «  David » , il m'a prise pour une andouille ou bien ?Je ne suis tout de même pas ignorante à ce point. Quel crétin, encore des secrets en plus.
C'est notre tour, la discutions n'a toujours pas changée, c'est à dire absolument aucune. Les portes s'ouvre automatiquement.un compte personne est placé devant les portes et quelqu'un vérifie les « invités », je voudrais pas être un intrus parce que vus la taille du surveillant il risque de souffrir.
Je rentre  accompagnée d'une quinzaine de personne dans une boite métallique tempérée, je la comparerais facilement à un ascenseur de bon super marché.
Mais alors que nous sommes debout, des sièges couvert de velours noir viennent se heurter à nos jambes et nous font tomber à la renverse. Une voix d'un homme âgé et hautain résonne dans la cabine. «  Asseyez vous, attachez vous, contrôlez vous »
- Nous contrôler ? Mais comment ça ?
Le sois-disant David s'assied comme demandé et attache une épaisse corde blanche autour de sa taille, sans dire un mot.
- Jim ! Répond moi Que ce que ça veut dire ? Où nous emmènent ils ?!
La voix apparemment au courant de nos conversation nous surprend de plus belle. «  Les conversations avec les caché ne sont pas autorisée. »
Jim ? Un caché ? Mais caché de quoi ? Je ne supporte plus ces secrets dépitant.
Contrôlez vous .. n'importe quoi, que qu'entendait-il par là ? Il cherche à nous effrayer.

J'étais pourtant persuadée que la folie ne nous atteindrais pas, que c'était encore un moyen de pression. Mais, mes compagnons d'histoire, je vous assure qu'actuellement je comprend ce qu'il à voulu dire. Une vitesse, imaginez une vitesse plus rapide que les voitures, les tigres, les avions imaginez une vitesse si puissante que votre cerveau n'aurait qu'une envie, celle de vous quitter. Et dans cette pièce démunie de couleur la petite quinzaine de personne semble apparaître comme des « mentalement irritable ». Je ne vois pas vraiment ce que les gens subissent , j’aperçois des bras se secouer et des jambes se cogner, j'entends des cris et des pleures. Une bande d'animaux sauvage renfermé dans deux mètres carré de velours et de tapisserie bourgeoise. Mes yeux vacillent et hoche de personne en personnes, laissant mon cœur battre la chamade de peur.
Je suis la seule que la vitesse ne détruit pas.
Je suis la seule qui ne bouge pas au milieu de tout ces déséquilibré.

Une personne qui m'est inconnue essaye de se lever. Ils auraient du le menotter parce que je pense que il va y arriver sous peu. Il se secoue dans tout les sens possible, se fait glisser sur le dos, tire sur la corde. Ça n'est plus son cerveau qui contrôle son corps mais la vitesse, elle le monopolise, le détruit.

Ce qu'il souhaite va arriver, il va réussir a se libérer de son siège. Il ne reste que quelque millimètre avant que la corde de laisse cette personne s'enfouir.

Le karma n'est pas un jeux, dans certain moment il m'arrive d'y croire et aujourd'hui encore, j'y crois. Cet être humain vient d'avoir une chance inouïe, la vitesse vient de s’arrêter d'un coup sec, sans prévention. Nous ne voyageons maintenant plus qu'a une dizaine de kilomètres heures, tout les voyageurs se sont réinstaller confortablement et plus aucun cris ne transparaît.

Pourquoi la vitesse ne m'a pas rendue comme ceux-ci ? Aucune idée.

Mais tout est redevenu comme avant, mit à par le «  presque échappé » Lui, il tremble encore comme durant une baisse de température en plein été, légèrement mais rapidement.

Je peux facilement lire la peur dans ses yeux, il est littéralement tétanisé. Qui à t'il de l'autre coté pour le rendre aussi apeuré ? Un monstre destructeur sûrement. Une sorte d'homme pierre vert et invisible qui peut prendre feu à tout moment .

L'ascenseur s’arrête et les ceinture de corde blanche se replient sur elles même, nous sommes arrivé à destination.

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Le voilà enfin votre chapitre :D Merci encore pour les 4k! *o*

un commentaire pour moiiii ? :'( ça fait trop lgtp :(

Shadow.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant