"Le sport est épuisant, meme, et je dirais surtout, pour celui qui s'en repait à la télévision sans le pratiquer -Jean Amadou"
Une fois que j'ai trouvé le local , je rentre dans la salle de sport. Elle est peinte de jaune délavé et tout est en parquet, le mur , le sol , le plafond la chaleur est surmontable grâce au ventilateur disposé un peut partout dans la salle , en effet on dirait qu'elle va tomber en ruine d'ici peut. Elle à quelque chose d’effrayant , quelque chose qui fait que je ne me sens pas à l'aise. Les vestiaires sont au bout du couloir, ils doivent tous s'habiller pareillement d'un tee-shirt gris entra-cite et d'un short noir, déguisé comme tel je pourrais les convaincre avec un véritable régime d'autocratie. J'ouvre la porte du vestiaire qui comme depuis sûrement des années grince et je remarque cette centaine de paires de yeux posé sur moi qui ne suis pas encore changée , moi qui suis en retard , moi qui suis nouvelle. Ce ne sont pas des vestiaires mais un réel tribunal ou toute s'écoute se plaindre de leur rondeur imaginative, tout en dévisageant les « véritables rondes » de leur rire narquois et d'un sadisme incommensurable. De leur yeux remplis de haine les sois disant admirables filles du milieu du vestiaire , toujours au centre d’attention , scrute le corps des autres demoiselles, n'ayant rien envisagé de tel. Une brunette s'agite au beau milieu du vestiaire laissant ses cheveux ce dandiner sur ses épaules elle soulève son tee-shirt ,tout aussi gris que les autres tee-shirt ,et laisse le vestiaire s’enjouer de son ventre parfaitement bronzé et apparemment pas encore suffisamment musclé pour elle. Les avocats de la jugée interviennent et s'écrient ensemble d'une voix vive: « Ton ventre est ma-gni-fi-que ma biche ! » voilà leurs arguments simple et bref. Et tel les votes durant les nombreux concours de chant le reste du vestiaire vote en accord avec les avocats de la victime d'un ventre trop mou sans doute effrayée de se que ceux-ci pourraient répliquer. Et d'un lent demi-tour tel les films a succès , la brunette m'apostrophe.
- Toi, la nouvelle !
- Je m'appelle Eline.
- Oui c'est ça , on s'en fou. Que pense tu de mon ventre ?
-Comme tu dis , on s'en fou.
Alors que de mes paroles sans aucune tenue je laisse la salle d'auditoire sans aucun sons attendant sans doute une réplique de la part de ce qui est devenue à présent mon adversaire d'une conversation sans queue ni tete.Mais cette grande poupée barbie hautaine me paru tout de suite moins audacieuse lorsqu'elle se retourna cherchant un regard d'appel à l'aide.
Et pour conclure la discutions elle se contente d'un « Hum » plutôt embarrassée et vexée.
La professeur sportive ouvre la porte et s'exprime rapidement « Les filles, il est l'heure je ferme le vestiaire dans deux minutes ! » et toutes les étudiantes lâche un soupir en communion.
Je sors du vestiaire infernal et l'institutrice me prend en apparié.
- Bienvenue à Saint-Constentin , je suis madame Lapou et je te donnerais cour toute l'année. Il te faut un tee-shirt et un short noir.
- Merci, je m'appelle Eline. J'irais m'en procurer un.
La brunette qui se dandinait dans le vestiaire apparaît rapidement avec toujours ses avocates à ses coté et dit rapidement « Madame faite attention elle est mentalement atteinte de dépression »
L'institutrice les niant ajoute « Si tu as des ennuis avec ces filles là prévient moi , je pourrais t'aider.
-J'ai des ennuis avec ces filles là depuis quelques secondes.
-J'ai remarqué.
La conversation se fini là et nous montons ensemble les quelques escalier qui séparent les vestiaires de la salle sportive.
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Le prochain chapitre est déjà écrit et est " surprenant" j'ai hate de vous le poster :D Je n'en dirait pas plus :3.
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#Hope1507
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Shadow.
Teen Fiction- Réveille toi Éline! Ils ne reviendront plus. -La mort n'emporte pas l'amour. -Tu es devenue complétement folle ? Vois la vérité en face. - Je fais comme tout le monde ,nier que le problème existe pour ne jamais avoir à le résoudre.