Chapitre 21

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Le cour d'histoire devient de plus en plus étrange, l'institutrice ne nous instruit pas sur ce qu'est la vengeance de Bonaparte ou même les fameuses habitations moyenâgeuse. Elle nous regarde droit dans les yeux que je remarque d'une noirceur continue. Ses mots résonne dans ma tête comme ils résonnent sous un pont ou un pièce vide. Mais encore une fois, ce n'est qu'une phrase, une phrase perturbante dans toute ça splendeur, « Si vous êtes là ce n'est pas sans raison ou conséquence » Si je suis là ? Je suis en cour d'histoire je ne vois pas en quoi c'est sans raison mis à par le fait que j'y suis obligée ! Les professeurs sont tout ce qu'il y a de plus étrange,si on les écoute, leur cour est toujours le plus intéressant contre celui de math qui se fait victimiser par tout les autres professeur l'insinuant inutile. Ils disent qu'il y a des conséquences à tout, même à la vie, même à la mort. Mais ce qu'il n'entende pas c'est que notre génération en est consciente. Peu importe ce que nous faisons, nous perdons dans toute les circonstances. Les mains clouées et les pieds attachés nous continuons de prier au grande personne qui sont sensée veillée sur nous, les grandes personnes qui contrôle nos esprits. Si seulement elle pouvait exister, si seulement nous pouvions tout arranger d'une seule prière dite enchantée.

Nous les adolescents, nous connaissons ce qu'ils n'ont pas connu « c'est vieux là », la drogue,portables, l'anorexie partout, les menaces constante, les bombes à perpétuité, les deux trois poing dans la gueule qui se transforme en une centaine de coups rependu sur tout le corps, les jeux xbox,wii,ps4,sur les ordinateur,les android, et tout c'est trucs à deux balles qu'on dit du à l'évolution. Mon cul ouai ! Rien de tout ça ne devrait exister. Nous proclamons une paix dans le monde tout en participant à ça destruction.

Alors oui, nous sommes conscient que rien n'est sans conséquence alors le répéter monotonement une centaines de fois devient inutile.

Quelque chose est vraiment différent dans ce cour, je ne saurais dire quoi mis à par le fait que l'institutrice répète la même phrase sans cesse,une fantaisie estropiée est dans cette classe. Il y a ce sentiment, et cette couleur, et ces voix.

Cette classe devient digne d'un ancien film d'horreur, mon entourage détient cette couleur entre le noir et le blanc avec des éclaircissement parsemée dans différent endroit ou je présume le soleil extérieur refléterais. Nous sommes littéralement dans un sentiment, un sentiment concret d'une peur absolue, un endroit qui pourrait nous paralyser ou bien rire de nous. Toute la classe, Mike et Will y compris regarde un même point fixe de leur yeux large et arrondi, l'institutrice. Je pourrais les comparer à des posséder mais de mon plus lointain souvenir je n'en ai jamais observer.

Ils ont se sourire plafonnant leur visage sans aucune émotion tel des miss durant un défilé. Ils sont les acteur de se film d'horreur et étant la seule personne mouvante avec un brin d'émotion, je suis la spectatrice, celle qui devrait avoir peur.

Dans le coin de la pièce, elle est là, la main tendue vers mon corps elle veut de nouveau m'emmener dans cet endroit qui m'est inconnu. De sa noirceur d'ombre et de sa forme plus qu'humaine je ne saurais lui faire confiance mais j'ai ce reflex humain qu'est de vouloir connaître ce qu'il y a après, avant et même pendant. Mathématicien, Scientifique, Philosophe, le monde entier détient ce dont qu'est l'envie de plus. Mon corps contrôlé par cette envie se rapproche peu à peu d'elle. Elle n'a pas l'air d'avoir peur, elle à confiance en moi plus que ce que je n'ai confiance en elle, parce que elle, elle sait. Mes pieds frôlent le sol chacun à leur tour me rapprochant petit à petit de l'ombre et ma conscience me pousse à lui faire confiance, comme si elle monopolisait jusqu'à mes pensée, comme si je la connaissais, comme si elle était mon amie depuis plusieurs années.

Je suis à coté d'elle , un doux sourire à la bouche avec une impression d'avoir retrouvée cette amie que j'avais perdue depuis des années. Elle penche délicatement la tête sur le coté de manière à m'amadouer sa main toujours tendue vers la mienne. Sa main ne se rapproche pas , elle ne bouge pas ne serait- ce d'un millimètre, elle veut que j'ai confiance en elle. Je veux savoir, je veux connaître, je veux toucher, je lui fais confiance. Ma main lentement se rapproche de la sienne et je ne sens pas sa chaleur corporelle ni son impatience, elle me laisse le temps qu'il me faut. Je glisse doucement ma main dans la sienne sentant la douceur de sa peau que je reconnais masculine et d'un hochement de tête, nous disparaissons vers un inconnu.

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Voilaaaaaaaaaaa :D Chapitre super important :3 j'espere qu'il vous à plus :3

Des hypotheses pour la suite ? Des avis ? :) ça fait longtemps que j'ai plus eut de commentaires :'( :'( :'( :'( :'( :'(

Mon snap : ophelie2810

Shadow.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant