𝒜ï𝒹𝒶.Paris,
France. 19h50.
Jeudi.
Hôtel.J'attendais impatiemment Della. J'avais hâte qu'elle arrive après m'avoir laissé pour aller faire je ne sais quoi. Comme lorsque nous en avions discuter ce matin, nous nous retrouvions tous dans la grande salle de resto, celui de l'hôtel. Une multitude de tables étaient éparpillés un peu partout. Alors, nous les avions toutes rassemblées au centre pour en former une grande.
La nappe ainsi que tous les couverts et assiettes avaient étaient placé. Nous étions une trentaine. Je m'étais placé sur un côté, le plus près possible du buffet, sachant très bien que Della aurait voulu cette place.
Tout le monde était assis, alors que j'avais gardé deux places à côté de moi. Une pour Della, et une pour son « chéri », comme elle me l'avait demandé. Depuis une dizaine de minutes, tout le monde était arrivé. Alors, je l'attendais patiemment, seule, au fond de cette table.
J'envoyais un énième texto à mon amie pour savoir quand est-ce qu'elle allait comptée arrivé. Mais encore un, qui finissait sans réponse.
J'allais lui en écrire un nouveau, mais je fus interrompu par un petit cri aigue à ma droite. Je relevais immédiatement la tête, et aperçue enfin mon amie. Je me relevai rapidement de ma chaise, avant d'aller la serrer dans mes bras. Elle semblait toute contente de me voir. Un sourire jusqu'au oreille, elle me faisait tourner sur moi-même. En me prenant une nouvelle fois dans ses bras, elle colla sa bouche à mon oreille.
— Tu vas être contente, regarde qui est venu avec moi.
Elle se recula, avant de se décaler d'un pas. Caden s'avança vers moi, avant de me faire la bise. Je regardais ma meilleure amie, confuse.
— Pourquoi est-ce que je serais contente -
— Pour moi.
Une voix grave me faisait tourner la tête.
Un regard froid. Il me détaillait, pendant que je faisais de même. J'allais parler, quand Della attrapa mon bras et me tira vers le fond de la pièce. Là où j'avais réservé nos places. Tout le monde nous regardait, mais particulièrement les filles. Toutes resté fixait sur l'autre imbécile derrière moi. Les autres garçons assis à la table, eux, ne semblaient même pas l'avoir remarqué.
Elle s'installa, ainsi que Caden. J'arrivais près de ma copine, alors que je jetais un bref coup d'œil à Amos, pour voir où il allait s'assoir. Je détournais le regard, et approcha ma main de la chaise. Mais avant que je n'ai pu me la tirer, il attrapa le dossier de celle-ci. Mon regard remonta sur ses yeux, qui me fixaient déjà. Il tira d'un coup sec la chaise, avant de me faire signe de m'assoir. Je souriais d'un sourire hypocrite face à son comportement, tandis qu'il me rendit mon sourire hypocrite. Je m'avançais, avant de commencer à m'assoir. Lorsque je m'asseyais, il poussa la chaise en même temps, me permettant de me caler contre la table.
Je le regarder de nouveau, mais, il me tourna le dos. Il partit vers l'autre bout de la table. Il tira une chaise inoccupée, sous le regard de toutes les affamées qui occupées le bout de la table.
Va manger avec ton nouveau fan club, tu as raison.
Mais, pendant que tout le monde le fixait, je le voyais qui revenait vers nous. Le garçon qui était à côté de moi se décala, lui laissant une place. Il créa un espace entre nous deux, lui laissant l'opportunité de s'assoir.
Je décalais ma chaise pour ne pas être en contact direct avec lui. Évitant à nos jambes de se toucher, ni même se frôler. Mais, il rapprocha encore un peu plus sa chaise vers moi. Della à ma droite, Amos à ma gauche. Il ne manquait plus que deux ou trois personnes pour que l'on puisse commencer notre dernier repas dans cet hôtel, dans la capitale de France.
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MENSONGES
RomanceAlors qu'elle fuit son passé oppressant en quittant la demeure de son père, Aïda cherche désespérément l'indépendance, mais, Amos, continu son combat pour trouver des réponses aux questions qu'il se pose. Le destin les entrelace de manière inattend...