𝒜ï𝒹𝒶.Paris,
France. 23h51.
Mercredi.
Voiture.Après presque était embarquée de force, je me retrouvais assise sur le siège passager, la tête collée à la vitre. Nous roulions depuis quelques minutes, et, c'est alors qu'on loin, je vis des lumières bleues ainsi que rouges. Elles tournoyaient.
— La police-
En les voyant aussi, il freina brutalement. Il fixait un point à quelque mètre de nous, qui n'était autre que les gendarmes postés là. Il allait faire demi-tour, mais un des polices ne fit signe de nous garer sur le bas-côté.
Amos semblait chercher une issue, mais se résigna en en voyant aucune. Il avança, alors que je remarquais sa jambe qui tressautait. Nous nous garions sur le côté, comme indiqué. Tous les gendarmes nous fixaient. Dès l'instant où le policier se trouva juste devant sa fenêtre, sa jambe arrêta tout mouvements.
— Bonsoir, veuillez couper le moteur s'il vous plaît, nous allons procéder à un contrôle.
Amos avait baissé sa fenêtre, alors que je me penchais pour voir le gendarme. Mais il plaqua le dos de sa main sur mon épaule, afin de me faire reculer.
— Pourrais-je avoir vos papiers ainsi que ceux du véhicule, s'il vous plaît ?
Amos se pencha vers la boîte à gants, juste devant moi.
Le gendarme vérifiait si tout était en ordre, avant de simplement lui rendre les papiers. Depuis le début, il m'avait semblait un peu hautain, et en confiance face à Amos. Il sortait même quelque phrase que je trouvais déplacer envers nous. Faisant des allusions sur notre relations, ou bien d'où nous venions. Et si nous avions fait la fête, ainsi que beaucoup d'autre chose que je trouvais en trop.
— Bien, je crois que nous avons fini. Je vais vous laissez repartir.
Amos rallumait le contact, prêt à partir. Mais le policier s'avançait, jusqu'à mettre son bras sur la portière. Croyant qu'il était parti, je relevais la tête. Et son regard pervers se posa sur moi. Le conducteur s'en rendit compte, et se pencha en arrière, afin de me cacher de ce dernier.
— Pas mal la voiture. Je comprends que vous les attiriez toutes.
— Pardon ? s'indigna presque Amos.
— Oh ça va, on s'est compris. Mais, c'est vrai qu'elle n'est pas mal non plus, s'exclama-t-il à mon attention. Vous me donnerais son numéro pour qu'elle puisse à moi aussi me faire une petite gâte-
Amos passa la main dans sa poche, avant de sortir son arme, et de lui la pointait entre les deux yeux. Il devint livide. Il recula instantanément. Mon ventre se tordit, en voyant une nouvelle fois cette arme à feu sortit.
Mais, avant de pouvoir voir quoi que ce soit, une main se posa sur mon visage. M'empêchant ainsi toute vue sur quoique ce soit. Je tentais de la retirer, mais sans succès.
Lorsque j'allais tenter une nouvelle fois de la retirer, une détonation résonna. Me stoppant instantanément. Je sursauté, accompagné d'un horrible frisson. Glaçant l'entièreté de mon être.
Il l'a... tué ?
Mes mains se posèrent sur son bras, avant de la faire descendre, me dévoilant cette scène atroce. Mes yeux s'écarquillaient d'eux même. Alors que je voyais le cadavre au sol. Ma main se plaqua contre ma bouche lorsqu'un cri aigue sortit de ma bouche. Quelque goutte de sang avait giclé sur la vitre à moitié remontait du côté d'Amos. Prouvant bien que je n'avais pas rêvé.
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MENSONGES
Roman d'amourAlors qu'elle fuit son passé oppressant en quittant la demeure de son père, Aïda cherche désespérément l'indépendance, mais, Amos, continu son combat pour trouver des réponses aux questions qu'il se pose. Le destin les entrelace de manière inattend...