Chapitre 24

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Le stress de la semaine et les endorphines que vous veniez de secréter vous ont mis ko assez rapidement. Tellement vite que le lendemain tu te réveillas allongé sur ton amant. Tu voulais te glisser doucement sur le coté histoire d'arrêter de l'écraser mais il te replaqua rapidement contre lui d'une main gentiment posé au creux de ton dos.

Geto : *avec un sourire malicieux* je vais avoir froid sinon...

tp : *en souriant* je suis donc obligé de rester si je comprend bien. 

Geto : C'est ça... jusqu'à ce que mort s'en suive !

tp : *en rigolant* tout ça ! 

Il frôlait ta peau du haut de tes fesses jusqu'à la naissance de ta nuque du bout de ses doigts. Tu te sentais bien contre lui.

Geto : Quoi que tu vas peut-être te lasser au bout d'un moment, donc on a qu'à dire jusqu'à ce que tu ne veuilles plus de moi...

tp : Tu te lasseras peut-être plus vite que moi. 

Geto : *en claquant une de tes fesses* la bonne réponse c'était *en rigolant*"mais non je t'aimerais toujours pourquoi tu dis ça !"!

Surprise tu t'étais relevé d'un coup.

tp : *en souriant* t'es bête quand tu t'y mets...

Il claqua la deuxième.

Geto : Répètes pour voir !

Tu sentais son sexe se durcir contre ta cuisse.

tp : *en rigolant* mais non je t'aimerais toujours pourquoi tu dis ça ? 

Tu fis doucement glisser ta cuisse contre lui.

tp : Et je peux même te le prouver si tu veux...

Geto : J'aimerai bien oui...

Tu commenças par embrasser délicatement son cou en repassant sur les traces violette que tu lui avais fait la veille. Puis tu descendis progressivement de plus en plus bas, tout en soutenant son regard. Tu pris son sexe déjà bien dur dans ta main et tu le léchas doucement en remontant vers son gland tout en le regardant droit dans les yeux, afin de voir la moindre de ses réactions, tu le suçais avec de grands et lents mouvements et tu l'entendais grogner de plaisir. Il balança sa tête en arrière dans un râle de plaisir, puis quand il l'a relevé il avait tendance à te recoiffer. Au bout de quelques minutes seulement il a fin par jouir sur son ventre. Tu te redressas pour admirer son visage rouge encore marqué par les sensations que tu venais de lui offrir.

Geto : *essoufflé* très belle preuve...

tp : Il est vrai que je sais me montrer très convaincante sur certain point.

Il essuya son ventre avec un mouchoir prit sur sa table de nuit avant de se redresser pour t'enlacer.  

Geto : Je t'aime vraiment tu sais...

tp : *au creux de son cou* je sais bien...

Tu profitas de ta journée pour t'exercer avec ta nouvelle technique. Gojo te donna quelques conseils sur un ton presque hautain ce qui ne te donnais pas du tout envie de les mettre en application. Et ce qui rendait la tâche encore plus difficile mentalement à tenir fut le faite que tu étais incapable de recréer le moindre petit courant électrique.

Gojo : ALLEZ FAIS UN EFFORT C'EST SIMPLE !

tp : *en allant t'assoir* j'ai plus envie de travailler avec toi. 

Gojo : Oh je vois *avec un sourire taquin* c'est parce que tu es loin de ton amoureux ? Moi c'est l'inverse j'ai du mal à me concentrer avec des jolies filles autour de moi... Les gens qui m'admirent me déconcentre je dois dire...

tp : Contente de le savoir ! Il doit y avoir d'autres de facteurs qui te déconcentre étant donné que les seules filles qui te regarde t'entrainer sont Shoko et moi... et je pense ne pas déformer les pensées de Shoko et te disant que ni elle ni moi ne t'admirons. 

Gojo : Dixit la meuf qui a besoin de moi...

tp : J'ai pas besoin de toi.

Gojo : *en rigolant* dans ce cas débrouille toi la pseudo génie !

tp : À force de prendre tout le monde de haut tu vas finir bien seul. Fait attention la chute risque d'être rude... le petit géni.

Gojo : Tu es assez mal placé pour me parler de modestie tu ne trouves pas ? Tu ne connais qu'une émotion la colère. Impossible de s'approcher de toi sans que tu nous envoies balader parce que avoue le tu tiens les gens plus faibles que toi en horreur. Et le gens plus fort que toi t'agaces car il te renvoi à ta propre faiblesse. C'est pour ça que tu es tout le temps énervé contre moi n'est ce pas ? Je doute même de ta capacité à aimer sincèrement quelqu'un... Si tu n'aimes pas les faibles... ni les forts... ni toi même. Alors dit moi aimes tu réellement Geto ou il remplit juste l'immense vide qui compose chaque cellule de ton corp en attendant de trouver un autre bouche trou émotionnelle. 

Sur le moment tu étais comme sidérée. Aucun mot ne voulait sortir de ta bouche.

Gojo : *en partant* moi au moins j'ai le mérite d'être agréable.

Tu vis Geto au loin le visage plus que fermé... il avait certainement tout entendu et il s'attendait surement à ce que tu contredises Gojo en affirmant à haute voix ton amour pour lui. Mais tu ne fis rien. Tu ne savais même pas si tu étais triste ou en colère... Peut-être les deux. Geto resta immobile, tu te levas pour aller le rejoindre mais il partit avant que tu ai eu le temps de faire un pas. Quelque chose dans ton fort intérieur te criait d'aller le rejoindre mais tu n'en fis rien. Tu restas là, le regard perdu pendant un certain temps. Les paroles de Gojo et le regard de Geto repassaient en boucle dans ton esprit. Et c'est Geto lui même qui est venu te sortir de cet enfer.

Geto : Je ne suis pas fâché tu sais... je suis juste déçu.

tp : J'aurais sincèrement préféré que tu sois en colère.

Il resta silencieux pendant quelques minutes.

Geto : Malgré le fit que je pense que ce que Gojo t'a dit est vrai... il ne l'a pas dit de la bonne manière. C'était plus blessant qu'autre chose j'ai trouvé... On est tous au bout du rouleau avec cet emploi du temps et ces missions qui dures plusieurs jours.

tp : J'aimerai que tu te dépêches de me quitter s'il te plait. Je n'ai pas la tête à entendre d'autre vérité aujourd'hui.

Geto : Je pense que tu as besoin de temps... pour te trouver et tu ne peux pas le faire avec moi dans ta vie. Du moins pas comme dans la conjoncture actuelle je veux dire.

tp : *en partant* très bien. 

Tu te sentais trahis par les deux hommes les plus proches de toi. Ceux à qui tu accordais toute ta confiance. Ceux dont tu ressentais l'amour ou l'amitié à chaque regard. Mais ils avaient emplis ton coeur et ton âme d'une tristesse indescriptible et d'une colère viscéral. 

Une fois dans ta chambre tu te dépêchas de fermer le verrou de ta porte et de fermer tes volets afin d'être seule et tranquille pendant quelques heures.


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Voilà pour le chapitre 24...

J'espère qu'il vous a plu <3

Merci pour les 14.7k lectures

Gros bisous les loulou <3

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Gros bisous les loulou <3



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