Chapitre 16 : Richesse enfernale

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Manhattan, New York - 11 : 02 P.M.

I felt like these parties didn't belong to me, i felt different

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I felt like these parties didn't belong to me, i felt different. I was not rich and didnt even have powerful contacts, but i was still there among them... Smiling was the only thing i needed to do, to show to everyone that i was truly happy because people couldn't care less.

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Grey sortit de la limousine et m'ouvrit la porte. J'arrangeai ma robe tout en balayant les lieux du regard. Ca ressemblait à un manoir moderne. Un long tapis rouge était déroulé à l'entrée, éclairé par des spots. Je suivis le gros con, qui était censé être mon copain et j'entrai.

La soirée se déroulait au premier étage. La plupart des invités étaient déjà arrivés. De la musique, des rires et des voix masculines emplissaient la grande salle.

Nous arrivâmes dans une grande salle bondée de têtes qui m'étaient inconnues. Malgré les murs blancs, les lumières tamisées conféraient à la pièce une ambiance presque intime. Les tables étaient enveloppées de nappes qui me paraissaient être en soie. Au fond, j'aperçus une scène où jouait un groupe de musique. Derrière lui, sur un panneau au néon rouge, était écrit : Welcome to the Gala Charity !

Les baies vitrées donnaient sur la ville, lumineuse et éveillée. C'était l'avantage d'avoir une propriété privée construite au sommet d'une colline. Le décor était extravagant, mais je n'en attendais pas moins de cette soirée.

Le regard curieux, j'analysais les personnes présentes dans la salle. Aucune ne m'était familière. Certains dansaient, d'autres discutaient autour d'un verre. J'entendais des rires, des hoquets de surprise, des ragots et des sujets regagnant les dernières tendances médiatiques. C'était comme assister à une riche soirée organisée par une sororité, sans les étudiants.

Grey me serrait la main, pendant que plusieurs photographes sûrement engagés par l'organisateur nous firent.

Grey se contenta de contracter sa mâchoire et de lancer des regards glacials à n'importe quelle personne qui oserait le dévisager. Tandis que moi, j'étais éblouie par la beauté, la grandeur de l'événement, Grey n'en fut moindrement surpris, il roula des yeux, voyant une gamine excitée à la vue de ses cadeaux au lieu de sa copine.

— Wayne. Son ton employé était tellement tranchant que je sursautai. Je me tournai vers lui, arquant un sourcil. Parler avec plus de douceur ne lui ferait pas du mal, tout comme m'appeler par mon prénom.

Et puis quoi, encore ? Qu'est-ce qu'il voulait encore ?

— Ne fais pas de gaffes, plusieurs hommes d'affaire verront me saluer dans quelques minutes, tu devras jouer le jeu sans qu'il ne se doute de quelque chose. Je te préviens à l'avance pour que tu te prépares psychologiquement. Je ne laisse pas les gens indifférents aux soirées comme celles-ci.

Le contrat d'un milliardaireOù les histoires vivent. Découvrez maintenant