la jeune star (satzu)

Bonus 1 : Et maintenant ?

Leur relation venait à peine de commencer, et il y avait du travail. Sana était un peu paniquer du comportement de Tzuyu, et cette dernière savait qu'elle devait faire de nombreux efforts, principalement sur la communication.
Sana était retournée à son école dans la bonne humeur, mais elle appréhendait le futur, et bien heureusement, se fit Tzuyu qui fit le premier pas. Elle avait été bien retourner après en avoir discuté avec Mina et Momo, alors elle invita la jeune femme à passé la prochaine nuit chez elle. C'était sans doute un peu précipité, mais étant donné qu'elle commençait à se faire connaître, c'était très dur de pouvoir sortir avec Tzuyu, et aucune des deux voulaient prendre le risque de déjà se faire attraper.
En fait, il y avait déjà eu un problème, et Sana fut dès l'après-midi attraper par celui-ci. Des photos tournaient de leur sortie le week-end passé, et bien sûr, elle était présente aux côtés de Tzuyu. Elle bruit avait rapidement courut à travers l'école, et Sana finit par se douter de quelques choses en entendant les nombreux chuchotement qui lui tournaient autour des qu'elle se déplaçait. Nayeon, par peur de la voiture prise de panique étaient venue lui faire un petit signe, ce que Sana apprécia.
— Tu verras, si jamais tu es convoqué, j'irai te soutenir, et pour tes élèves, très simples, il suffit soit de nier, soit de dire qu'il s'agit de vie privée. Tu verras, d'ici une semaine, plus personnes n'en parlera, à toi de garder tes nerfs jusqu'à là.
Sana lui souria, Nayeon était une vraie amie avec, et ça lui faisait plaisir.
— Demain soir avec les amies de Tzuyu, nous sortirons au bar de la dernière fois, j'aimerai t'inviter, tu devrais t'y plaire.
Le sourire de Sana avait de quoi convaincre n'importe qui et cela, alors que Nayeon était rapidement gênée.
— Je ne pense pas venir, c'est gentil de proposer, mais il s'agit de tes amies, pas des miens.
— Si tu penses comme ça, tu ne te feras jamais d'amies. Tu sais, j'avais répondu la même chose au début, et finalement regarde ou ça m'a mener.
Nayeon ne fut pas pour autant convaincu, alors Sana glissa une petite information en plus.
— Et puis, je crois que ça avait fait plaisir à Jihyo de discuter avec toi, à mon avis elle sera contente de te revoir.
Nayeon hésita encore, mais moins, alors, pour finir le tout, elle trouva un dernier élément pour la convaincre.
— Viens avec ton copain, ça ne posera de problème à personne, tu verras.
Nayeon finit par sourire, puis elle mit son pouce en l'air, alors que les cloches sonnaient.

Sana finit par se dépêcher de rentrer chez Tzuyu, elle ne pouvait pas s'empêcher d'être impatiente de la retrouver. Il y avait du stress, mais malgré ça, elle trouvait tout merveilleux. Elle rêvait de sa petite amie, enfin si elles pouvaient se considérer comme ça. Le début allait être chaotique, mais si elles tenaient réellement l'une à l'autre, elles s'en sortiront sans problème. Elle avait récupéré des affaires chez elle, elle en avait même pris pour plusieurs jours, car elle ne savait pas quand elle allait rentrer. En regardant l'heure, elle se rendit compte qu'elle aurait le temps de préparer un repas pour Tzuyu avant qu'elle ne rentre de l'agence. Alors, n'ayant pas une seconde à perdre, elle se dépêcha de repartir.

En arrivant devant la porte de chez Tzuyu, Sana essaya de mettre la clé dans la serrure, mais à ce moment-là, elle remarqua qu'elle ne rentrait pas. Bizarre, Tzuyu n'aurait pas pu refermer derrière elle sinon. Elle réessaya à nouveau mais rien à y faire, jusqu'à ce qu'elle entende de l'autre côté de la porte une clé se tourner et la porte s'ouvrir, face à une femme plus âgé.
— Excusez-moi, comment avez vous eut les clés de cet appartement ? Lui demanda-t-elle.
Sana était genre, a bien y regarder, elle ressemblait à sa petite amie, mais version plus âgé donc il pouvait s'agir... de la mère de Tzuyu !
— Excusez-moi, Tzuyu m'a demandé de passer la voir, et j'étais un peu en avance, je ne pensais pas que son appartement allait être occupé.
La femme mit du temps à réagir, Sana ne comprenait pas, et pour autant, on ne la laissa pas entrer de suite.
— Si vous avez les clés, c'est que ça doit être vrai, vous êtes une amie à elle ?
La question était piquante, déjà, cela sous-entendait que même Tzuyu ne savait pas pour la présence de ce qui semblait être sa mère, mais qu'en plus, elle allait passer un moment assez gênant.
— Oui, je m'appelle Sana, je suis professeur de japonais dans un lycée, je suis amie avec Tzuyu, Jihyo, Mina, Momo et Chaeyoung depuis un peu plus d'un mois, je devais passer manger avec elle ce soir, donc j'ai amené de quoi cuisiné.
Malgré tout, elle resta méfiante, mais laissa tout de même Sana entré.
— Entrée, je vais devoir mettre un couvert en plus... Chérie, on aura une amie de notre fille au repas de ce soir.
Maintenant tout était clair, prise de panique, Sana les salua plusieurs fois en signe de respect.
— Excusez-moi, je ne savais pas, enchanté de faire votre connaissance.
La mère souria simplement, son père quant à lui s'approcha de Sana et tendit sa main.
— Enchanté, excuser nous nous venons de Taiwan, nous comptions faire une surprise pour notre fille.
Sana répondit rapidement oui de la tête, le stress la prenait.
— Ok soucis, je suis ravi de vous rencontrer, j'espère aussi que ça fera plaisir à Sana !
— Ma fille ne vous a jamais parlé de nous ?
Sana ne savait pas quoi répondre, la vérité était le plus simple, mais souvent blessante.
— À vrai dire... Nous n'avions pas encore eu le temps d'en parler... Désolé...
Son père se mit à rire, ce qui détendit l'atmosphère immédiatement.
— Bouahahah, je reconnais bien là ma fille, elle n'est jamais la plus expressive et préfère garder ses sentiments pour elle. Mais sachez qu'elle nous apprécie beaucoup !
Sana se mit à rougir, au vu de ses parents qui semblaient adorables, il n'y avait pas y a douter.
— J'ai amené de quoi cuisiner, je vais rejoindre votre femme afin de participer au repas de ce soir.
— Oh, ne vous en faites pas, vous êtes aussi notre invité ! Se défendit-il.
— C'est pour moi, et ma gourmandise. Et puis étant japonaise, j'ai de quoi préparer un bon repas dont vous n'aurez pas l'habitude.
Il fut l'air surpris de la nouvelle.
— Excusez-moi, votre Coréen est parfait.
Sana se mit à rougir, ils étaient trop aimables avec elle.
— Si j'arrive à me débrouiller, dans le futur, j'échangerai en mandarin avec vous.

Sana finit par bien échanger avec la mère de Tzuyu, ses parents n'étaient pas tant similaire à leur fille que ça. D'abord, très communicatif et très ouvert, cela changeait totalement de la mère de Sana avec qui tout s'était toujours mal passé.
Tzuyu finit par arrivé une heure et demie après, en ouvrant la porte, elle parla sans même faire attention à ceux qui se trouvait dans son appartement.
— Excuse-moi ma chérie, j'ai passé un peu plus de temps pour peaufiner ma chorégraphie pour mon prochain titre !
Les parents de Tzuyu se tournèrent vers Sana en fronçant les sourcils, Tzuyu, elle arriva dans le salon et s'immobilisa immédiatement.
— Papa ? Maman ?
Ce fut à Sana de faire un signe en premier, tout en exprimant sa gêne, Tzuyu n'avait même pas la force de sourire à cause du choc. Mais sa mère elle était bien réveiller.
— Ma chérie ? Visiblement, contrairement à ce que nous a dit Sana, vous semblez être de très bonnes amies.
Tzuyu se gratta la tête alors que plus les secondes s'écoulaient, plus Sana disparaissait au fond de son siège, couvert de honte.
— Disons que je pensais que vous n'étiez pas là, et que j'allais passer une soirée en tête-à-tête avec ma petite amie.
Elle ne changeait pas, et Sana avait honte d'elle-même. Tzuyu était simplement direct et honnête, comme à son habitude.
— Et bien heureusement qu'on ne l'a pas mise à la porte, dire que je discute avec ma belle-fille depuis bientôt 2 heures sans le savoir. Son père se tourna avec un large sourire vers Sana qui avait plus honte qu'autre chose. Cette dernière eut quand même la force de se lever et d'aller serrer dans ses bras sa petite amie, qui lui chuchotait a l'oreille.
— Excuse-moi, je ne pensais pas qu'il était là.
Pour autant, Sana rigola en embrassant le cou de Tzuyu.
— Et moi donc, la surprise en ouvrant la porte et en tombant sur ta mère.
Tzuyu souria, puis relâcha Sana.
— Les parents, je vous présente Sana, professeur de japonais et aussi ma petite amie depuis moins de 24 h. S'il vous plaît traité le bien.
Puis elle se courba par respect, ce que fit aussi Sana un peu paniquer.

Ce fut une très bonne soirée, bien apprécier par Sana même si, comme pour Tzuyu, ce n'était pas ce dont elle s'attendait. Sana était très ouverte et pu discuter sans aucun mal avec les parents de Tzuyu, et cette dernière était suffisamment en confiance pour faire rire le groupe. C'était un moment spéciale pour les deux jeunes femmes, car très rapidement, une complicité était en train de naître entre les deux, qui n'était plus heureuse que jamais.