Strat - Tome 2 (Sirius) (Terminée)

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🌩️ Alas 🌩️

Accroc comme un enfant bourré au sucre, c'est ce que je suis quand mes mains et mes lèvres touchent Lana. Je ne sais pas ce qu'il en ressortira demain, mais je compte bien profiter de son initiative pour m'enivrer de chaque parcelle qu'elle est prête à m'offrir cette nuit. N'y tenant plus, je baisse brusquement son pyjama et sa lingerie pour placer mes doigts dans son humidité. Le gémissement qu'elle prononce, me fait rougir honteusement. Je n'ai pas encore commencé, mais je suis déjà en manque. Cette petite brune a réussi à désamorcer mon esprit pour n'être rien qu'à elle. Le besoin de la goûter me démange, j'ai besoin de me rappeler quitte à ce que je souffre de notre passé. Mes baisers se font de plus en plus bas, jusqu'à ce que j'arrive à sa féminité. Je la dévore, tout en maintenant fermement ses poignets contre ses hanches la faisant cambrer ce qui augmente mon excitation. Mon érection contre le matelas se fait douloureuse, tant l'agitation que je lui procure engendre la mienne. Elle pourrait paraître à ma merci, mais la réalité est bien différente. Je suis attentif à chacun de ses sons ou de son attitude, me poussant à me surpasser pour qu'elle ne puisse plus me quitter.

-        Je t'en supplie...

-        Je t'écoute.

-        Pre...prends moi.

Ses genoux pliés, commencent à trembler en écho avec son orgasme qui approche.

-        Je suis en train de perdre la tête mon petit cœur.

Putain, rien que son surnom me pousse à la consumer. Je veux tout d'elle. À contre cœur je m'éloigne, pour obéir à sa supplication.

-        Caresse-toi.

Ses yeux s'écarquilles, me donnant le sourire.

-        Essaye. Je veux te faire découvrir d'autres plaisirs avant que notre heure soit sonnée.

À présent debout, je la regarde obéir avec hésitation tendant ma verge au plus haut point. Ses joues rouges sont à croquer, ses yeux se referment.

-        Ne jouis pas.

Je reviens en vitesse dans la chambre avec un préservatif déjà déroulé sur mon sexe, quand je remarque qu'elle continue ce nouveau plaisir solitaire avec une main froissant le drap.

-        Je suis là.

Au-dessus d'elle, mon souffle la sort de son imagination vulgaire me donnant le plaisir de plonger dans ses iris. Le violet est une couleur dure à effacer, également en la mélangeant a d'autre teinte. Alors pourquoi elle est indélébile sur ma vie ? Parce que même avec acharnement, je n'ai jamais pu l'estomper. Ses doigts fins s'accrochent directement à moi, et je baisse ma garde pour nous retrouver joue contre joue avec son essoufflement comme mélodie. Il ne m'en faut pas plus. Je la pénètre doucement en poussant un râle, étroit en elle. Désolé, je n'avais malheureusement oublié aucune des sensations qu'elle seule à le secret.

-        Doucement s'il te plaît.

-        Tu...tu veux que j'arrête.

-        Non ! Je veux dire, non. Je vais juste jouir si tu oses un mouvement.

Je grogne. Elle va me tuer. Je me retire, et la fait rouler jusqu'à ce qu'elle retrouve au-dessus me chevauchant.

-        Tu mènes la danse, mon cœur.

La lueur de défi que je vois dans son regard fait pulser mon sexe, et c'est à mon tour de me retenir pour ne pas éjaculer. Nue devant moi, elle ondule ne se rendant pas compte de son magnétisme. Quand elle se penche me livrant ses tétons, ma raison s'est envolée.