Mondes opposés (Devil's Blood T2)

JUNE

Je comprends sans vraiment comprendre sa réaction... lorsque je sors je suis rassurée de le voir encore là. Tout le monde se déplace vers les motos et les voitures. Je reste devant lui. J'attends qu'il dise quelque chose. Je vois un petit sourire apparaître.

On rentre à la maison ? Il me demande.

J'ai cru que tu me le demanderai jamais. Je lui répond.

Il me prend la main jusqu'à la moto. Il me met mon casque je le laisse faire avec grand plaisir. Il m'a tellement manqué. J'ai envie de me retrouver toute seule avec lui. De tout lui raconter. De toute la réflexion que j'ai eu sur mon avenir et sur lui pendant ce mois ici.

On prend la route et je me colle à lui une fois bien sur la route il pose sa main sur la cuisse. Je décide de passer mes mains sous son tee-shirt.

On arrive une heure plus tard à la maison, je remarque tout de suite Estelle, Maggie et Tara. Une fois arrêté je prends le temps d'observer la scène avant de me diriger vers Tara, elle me prend dans ses bras. Et pleure, je ne mis attendez pas.

Merci, vraiment merci pour ce que tu as fais. Tu es une femme...

Non je t'interdis de me dire merci, je l'ai fais parce que vivre avec tout ça sur la conscience m'est insupportable. Et puis il ma quand même fait enlevé pour seulement 200 000 dollars j'ai été déçu. Il fallait lui montrer que je valais plus que ça dis donc. Lui dis-je en rigolant.

34C'est génial de te revoir comme ça June. Me dit Estelle en me prenant dans ses bras.

Moi aussi je suis ravie de vous revoir. Mais sans vous vexés.

Tu aimerai te retrouver avec Zak... que tout les deux. Me coupe Maggie.

Je suis désolé mais on a beaucoup de choses à ce dire.

Et à faire surtout ton homme à était insupportable pendant ton absence il faudrait le détendre. Rigole Axel.

Merci pour cette intervention on s'en serrai passé. Se vexe Zak.

Nous les regardons partir. Je me tourne vers la maison. Je rentre et m'arrête sur le palier. J'ai envie de craquer. Je le sens à peine collé à mon dos. Je me colle à lui et m'effondre en pleure. Tout ressort et tout remonte. J'ai étais forte mais aujourd'hui j'aimerai qu'on m'aide pour lâcher les rames une seule fois dans ma vie.

Il ressert ses bras autour de moi et me tourne je place ma tête sur son torse et m'agrippe à son tee-shirt. Je lâche les armes, je le sens me porter et s'asseoir sur le canapé. Il me dit des mots rassurant, et je l'en remercie.

Je commence à me calmer, et je lève les yeux vers lui il me regarde, je me perds dans ses yeux. Puis tout se passe au ralenti, il se baisse pour m'embrasser. Je réponds tout de suite à son baiser. Je m'assis sur lui à califourchon. Il m'enlève mon tee-shirt et prends mon sein en bouche. Je le retrouve et ces magique. Il détache mon soutien gorge. Et je fais pareil avec son tee-shirt. Nos bouches ne se quittent à aucun moment. Nos corps bouge dans une synchronisation parfaite. Nous n'avons pas le temps de parler, nous avons besoin de nous retrouver.

Il enlève ma mon pantalon et ma culotte. Il fait de même avec son pantalon et son caleçon, il reprend l'assaut sur ma bouche et me pénètre d'un seul coup de rein. Il me regarde pendant quelques secondes, c'est comme une déclaration d'amour. Et il commence ses va-et-vient.

Nos corps se déchaînent l'un avec l'autre. Un mois c'est bien trop. Je sens l'orgasme arriver, il continu encore plus fort lui aussi n'est vraiment pas loin. Je le sens au plus profond de moi, se gonfler. Ses gémissements s'intensifient comme les miens, je me sens partir dans le meilleur des cocons. L'orgasme qui me foudroie est indescriptible je hurle de bien-être. Il se décharge en moi au même moment dans un râle rauque. Il pompe jusqu'à la dernière goûte à l'intérieur de moi.

Je t'aime June. Putain je suis fou de toi. Depuis la première fois. Il me dit encore en moi.

Je t'aime aussi Zak. On s'embrasse.

Je suis désolé je n'ai pas mis de préservatif. On a était trop rapide.

Ce n'est pas grave j'ai confiance en toi et j'ai un stérilet.

Putain je ne veux plus qu'on soit séparé. Il me dit en sortant de moi.

Il faut qu'on parle de ça d'ailleurs.

Je t'écoute mais avant j'ai soif. Tu veux un truc.

Et si tu me servais un verre de vin ? S'il te plaît.

Il part toujours nu dans la cuisine, je sais ce dont j'ai envie aujourd'hui mais lui est-il prêt à tout ça. Est ce qu'il est prêt à m'ouvrir sa vie pour qu'on vive notre histoire.

Quand il revient avec une bière et mon verre de vin. Je remets ma culotte et mon tee-shirt.

Alors de quoi veux-tu parler ? Me demande-t-il.

Je prends une grande inspiration, et lui ouvre mon cœur et ma tête. Tout ce dont j'ai pensé ce mois ci toute seule.