Asservissement - 3

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A peine rentrés chez Viny, ce dernier me tint par la gorge et me plaqua contre le mur. Son regard était tellement brulant que sur le coup, j'ai pensé qu'il allait me battre.

- Tu ne feras plus jamais ta pute quand tu es avec moi ou sans moi, je suis le seul à décider quoi faire de toi.

- Mais c'est lui qui m'a...

- Ta gueule, hurla-t-il.

Il me tira vers lui et m'envoya valser sur le canapé. Il s'approcha de moi en déboutonnant son pantalon.

- Tu veux être une pute Sarah ? Alors je vais te traiter comme une pute.

M'arrachant ma jupe, il se positionna entre mes cuisses.

- Je vais te baiser comme la salope que tu veux être.

Sans me ménagement, il me pénétra violemment m'arrachant un grand cri.

- Oui vas y gueule petite pute, je vais t'apprendre à me tourner en ridicule devant mes potes. Je vais bien te faire hurler ce soir.

Il se mit à me donner de grands coups de bassin en me traitant de tous les noms.

- Sale pute, je vais te dresser moi. Espèce de chienne, je vais t'apprendre à respecter ton homme.

Alors que je t'atteignais l'orgasme malgré moi, il me mit une gifle.

- C'est ça que tu veux petite putain ? Eh bien dorénavant tu n'auras que ça. Je vais te dresser comme la chienne que tu es.

Il me retourna ensuite le ventre et me pénétra avec tout autant de violence, essayant de me faire le plus de mal possible. De mon côté, malgré la douleur que je ressentais face à ses assauts vengeurs, je ressentais un épanouissement sexuel sans égal alors qu'il profitait de moi.

Il continua ainsi pendant de longues minutes, changeant à chaque fois de position, me claquant les fesses, me mettant des gifles, m'insultant, et je subissais ses assauts sans broncher, jouissant sous l'intensité du traitement qu'il m'affligeait.

Bientôt, il arrêta ses assauts pour se déverser dans ma chatte comme il aimait si bien le faire. Croyant que mon supplice était terminé, il me prit par les cheveux et me dit :

- A la salle de bains maintenant.

Comme je me levai, il tira brutalement sur mes cheveux.

- Non petite pute, tu iras à quatre pattes, comme une chienne.

Il me traina ainsi par les cheveux, suivant plus ou moins mon rythme jusqu'à la salle de bain où il me mit la tête au-dessus de la cuvette des toilettes.

- Voilà, tu es à ta place, me dit-il.

Je l'entendis derrière moi enduire sa queue de lubrifiant. Comme il vit que je le regardais du coin de l'œil, il me dit :

- Ne me regarde pas avec tes yeux de salope bourrée, tu as encore trop bu mais ne t'inquiète pas, je vais te réveiller moi.

Se positionnant derrière moi, il s'enfonça dans mon cul sans les précautions habituelles. Je laissai échapper un cri de douleur.

- La ferme salope, la prochaine fois que je te vois parler à un autre, ça serait à sec que je t'enculerai.

Il commença ses assauts sur mon cul mais je ne pouvais pas m'empêcher de crier.

- Tu ne veux pas la fermer, me dit-il, très bien.

Me tenant fermement la tête, il me l'enfonça dans la cuvette des toilettes. Je tentais de m'accrocher au bord pour contrôler la position mais c'était vain de vouloir lui résister.

- Doucement Viny, m'écriai-je, s'il te plaît.

- Ta gueule, salope !

Je sentis un tourbillon d'eau m'encercler le visage et la tête, je me retrouvais éclaboussée de toutes parts. Ce salaud avait tiré la sache d'eau. Je commençais à tousser à et crasher, ayant failli m'étouffer, mes cheveux collés sur mon visage m'empêchait de respirer et de reprendre mon souffle facilement.

- Tu vas ce que tu m'obliges à faire ? Hurla-t-il. C'est ça qu'il te faut. Je vais te dresser moi tu vas voir.

Malgré mes supplications, il m'enfonça à nouveau la tête dans les toilettes et tirer à nouveau la sache, m'étouffant. Pendant ce temps, il me défonçait le cul sans répit. Par manque d'oxygène et à cause de tout l'alcool que j'avais ingurgité, je me sentais sur le point de m'évanouir, je fermai les yeux, cessant toute résistance. Quand je sentis soudain des jets de sperme s'écraser sur ma joue et mes cheveux.

Me lâchant, je me suis retrouvée, accroupie misérablement sur la cuvette des toilettes, n'ayant pas la force de bouger. Le visage, le corps entièrement souillés.

- Voilà comment on traite les putes dans ton genre, et si jamais tu refais ça, tu sais ce qui t'attends.

Je ne répondis pas. Cherchant désespérément à trouver la force nécessaire pour me mettre debout.

- Regarde-moi, me cria-t-il en attrapant mes cheveux mouillés.

Je tournai mes yeux vers lui.

- Est-ce que tu as compris ce que je t'ai dit ?

- Oui Viny, j'ai compris, dis-je faiblement.

Il resta un moment ainsi, à me regarder en me tenant les cheveux ensuite il ajouta.

- Si tu as envie d'être une pute, tu le seras, mais à ma manière.

Et il me cracha au visage.

Les Passions de Sarah - Tome IIIOù les histoires vivent. Découvrez maintenant