Chapitre 8

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Bonne lecture

Moi : j'aimerais l'essayer, mais j'ai peur, Seigneur, je n'ai jamais fait ça mais attends, c'est toi qui vas conduire ... ?

Lui : oui, ça se voit non...

Moi : excuse-moi, mais je tiens à ma vie, donc je pars dormir, faire comme si je n'avais rien vu et rien entendu de ce que tu viens de dire ...

Lui : va te changer, tu parles trop... sinon, c'est moi qui vais t'habiller... en noir.

Moi : désolée, non, je suis trop jeune pour mourir en moto... Seigneur.

Lui : tu ne vas pas mourir, d'accord, je vais te protéger, alors vas-y.

Moi : d'accord, si je meurs, je viendrai te hanter chaque seconde, chaque minute, chaque moment de ta vie...

Lui : entendu...

Je me suis habillée comme lui, en noir, avec un casque noir, des bottes noires, bref tout en noir... Il monte sur cette grosse moto et la fait vrombir. J'ai failli sursauter, puis il me fait signe de m'approcher.

Lui : tu es sexy dans cette tenue, ça te va à ravir (avec une voix grave et sexy).

Moi : okkk

Je ne sais pas quoi dire sérieusement, j'ai ressenti quelque chose dans le bas de mon ventre, des papillons comme on le dit dans les contes de fées, n'est-ce pas... Je voulais le contourner pour m'asseoir derrière lui, quand je sens sa main sur mon ventre pour m'arrêter.

Lui : Tu vas où ?

Moi : Je vais où ?

Lui : On ne répond pas à une question par une question...

Moi : Si la question est bête, s'il est nécessaire de répondre par une question.

Lui : Ton langage, jeune fille...

Moi : (silencieuse)... Désolée.

Lui : Viens, tu t'assois devant moi.

Moi : Quoi ?

Lui : Je te donne deux secondes pour poser tes fesses devant moi.

Moi : Waw, maintenant tu dis mon langage, seigneur.

Lui : Fadii (dit-il durement).

Moi : Doucement.

Je me place devant lui, je pose mes fesses entre ses cuisses, nos pieds collés, mon dos contre sa poitrine, je sens ses abdos derrière mon dos, son souffle, sa respiration, chaque battement de son cœur. Il prend mes mains et les place sur le cadre de la moto avec les siennes par-dessus les miennes, je frissonne mais je ne le montre pas, je retiens ma respiration. Il me tire un peu pour être proche de lui.

Lui : c'est toi qui vas conduire, moi je te guide, tu es prête.

Moi : mais... S'il te plaît non, on va mourir c'est sûr.

NOTRE 730 JOURS........Où les histoires vivent. Découvrez maintenant