Chapitre 28

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Bonne lecture.....

Imam : ÇA SUFFIT FADILA... (en criant et se levant)

Mais ma colère monte, je me lève aussi.

Moi : C'est elle qui a mis les pilules, elle m'a piégé, je n'ai rien fait.

Il vient rapidement vers moi, maman se place entre nous.

Maman : Reste à ta place, Abdul basit .

Imam : Maman, c'est ma femme, donc ne t'en mêle pas.

Maman : C'est aussi ma belle-fille, donc je m'en mêle. Si elle dit qu'elle n'a rien fait, c'est parce que c'est vrai.

Beau-père : Penda, tu supposes que ma nièce Khadija, que tu connais depuis sa naissance, est capable de mettre Imam et sa femme en mal ?

Maman : (silencieuse)

Beau-père : RÉPONDS-MOI ! (dit-il d'un ton fort)

Maman : Je suis désolée de m'être mal exprimée, mais je pense qu'on devrait l'écouter. (dit-elle calmement)

Imam : Maman, s'il te plaît, pousse-toi et Fadila va s'excuser, puis tout redeviendra comme avant.

Maman : Laisse-lui au moins la chance de s'expliquer.

Imam : Maman, il n'y a rien à expliquer, crois-moi, tout est clair. Alors pousse-toi, s'il te plaît, maman.

Beau-père : Penda, écoute-moi très bien, tu ne te mêles pas de leur vie de couple et tu laisses basit gérer ça comme un grand garçon. Que ce soit la dernière fois que je te vois t'en mêler. Je veux que tu partes d'ici dans les secondes qui suivent. (dit-il durement)

Ma belle-mère se pousse à contrecœur et part directement dans sa chambre. Là, je réalise que c'est fini, je n'ai plus personne, c'est moi contre tous. L'imam m'attrape par le bras et me met en face de Khadija, qui est toujours assise dans le fauteuil en essuyant ses larmes.

Imam : Tu vas t'excuser tout de suite, Fadila.

Khadija : Basit, arrête s'il te plaît, ce n'est pas grave. C'est à moi de m'excuser, Fadila, je suis désolée si je t'ai fait quelque chose sans m'en rendre compte, pour que tu me détestes à ce point-là. (en essuyant ses larmes)

Moi : Crois-moi, je ne te pardonnerai jamais de la vie. Et je ne m'excuserai jamais devant une pétasse comme toi.

D'un coup, je sens une gifle monumentale sur ma joue en tombant directement. Je lève les yeux, c'est imam. Mes larmes coulent.

Beau-père : Basit, sors-moi cette folle de mon salon tout de suite. (d'un ton colérique)

Imam me prend comme une malpropre et m'amène en haut. Arrivé là, il me balance sur le lit. La haine que je ressens envers lui à ce moment est inexplicable. Je me lève directement et lui fais face.

Moi : Sache que je te déteste à partir d'aujourd'hui. Et tu a oser lever  la main sur moi à cause d'elle, crois-moi, vous le regretterez tous.

Il me plaque contre le mur sans me faire de mal...

Lui : Que ce soit la dernière fois que tu nous menaces, Fadila. Que ce soit vraiment la dernière.

Moi : Crois-moi, je m'en fiche, allez tous au diable.

NOTRE 730 JOURS........Où les histoires vivent. Découvrez maintenant