KAILEA MOORE
* * *
London, UK
08H06
Décembre
Le mois de décembre venait de débuter, jetant un froid glacial sur Londres. Le temps était si froid et monotone. Je réajuste ma longue écharpe grise autour de mon cou en frissonnant légèrement.
En janvier, les examens blancs commenceront enfin. Les professeurs nous préparaient lentement à ça, car après les vacances d'hiver nous aurons peu de temps.
Mes Converse avait rapidement été remplacé par mes Ugg les jours non pluviales et je me préparais doucement à dire au revoir à mes escarpins jusqu'au mois de mars. Bien que je les chérisse énormément, elles ne me tiennent pas du tout au chaud.
J'entre dans l'établissement et me dirige vers ma classe d'anglais. Je soupire intérieurement en apercevant le visage aigri de Dextasy. Je retrouve Astrid assise au fond de la classe, nous avions changé de place depuis le mois de novembre.
- Coucou Kailea !
Son grand sourire m'accueille joyeusement, elle était rayonnante depuis qu'elle sortait avec Neyard. Je lui en étais infiniment reconnaissante de rendre mon amie heureuse. Ses cheveux blonds avaient disparu pour laisser de nouveau place à ses longs cheveux noirs.
Astrid blond hair era allait me manquer...
Mais le noir était clairement sa couleur, aucune autre la mettait en valeur de cette manière.
- Coucou Astrid ! Tu vas bien ? Je lui demande en m'asseyant près d'elle.
- Oui, j'ai passé un très bon weekend ! Et toi ?
Je détestais ça.
Lorsqu'on me demandait comment je me portais parce que la vérité était que j'étais profondément triste.
J'étais remplie d'une profonde tristesse depuis plusieurs semaines. Il avait fallu à mes amies de longues journées pour me consoler par rapport à ce soir dans les jacuzzi de l'hôtel. Je n'ai jamais autant pleuré de ma vie pour un garçon, même pas pour Eren. Kassian m'avait littéralement brisé le coeur. C'était devenu un calvaire de voir sa tête tous les jours. Je l'évitais dès que possible, bien que ce n'était pas évident du tout entant donné que nous avions trop de potes en commun.
Je le détestais autant qu'il me manquait mais je me promettais de ne jamais revenir vers lui.
- Ça va, je dis simplement.
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𝘼𝙗𝙤𝙫𝙚 𝙬𝙝𝙖𝙩 𝙤𝙩𝙝𝙚𝙧 𝙨𝙚𝙚
Любовные романы𝐀𝐢𝐦𝐞𝐫 𝐜'𝐞𝐬𝐭 𝐬𝐨𝐮𝐟𝐟𝐫𝐢𝐫. 𝐏𝐨𝐮𝐫 𝐞́𝐯𝐢𝐭𝐞𝐫 𝐝𝐞 𝐬𝐨𝐮𝐟𝐟𝐫𝐢𝐫, 𝐢𝐥 𝐟𝐚𝐮𝐭 𝐞́𝐯𝐢𝐭𝐞𝐫 𝐝'𝐚𝐢𝐦𝐞𝐫. 𝐌𝐚𝐢𝐬 𝐚𝐥𝐨𝐫𝐬 𝐨𝐧 𝐬𝐨𝐮𝐟𝐟𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐧𝐞 𝐩𝐚𝐬 𝐚𝐢𝐦𝐞𝐫. 𝐏𝐚𝐫 𝐜𝐨𝐧𝐬𝐞́𝐪𝐮𝐞𝐧𝐭, 𝐚𝐢𝐦𝐞𝐫 𝐜'𝐞𝐬𝐭 �...