Chapitre 28

29 1 0
                                    

Emilio

La journée d'hier était parfaite, j'ai eu l'impression que nous venions de former notre famille, je l'aime vraiment et je sais que se sera vraiment elle jusqu'au bout. Mais lorsque j'ouvrais les yeux, et que je vis qu'elle n'était pas la, je paniquais. Je me levais de lit et je commençai a chercher dans toute les pièces jusqu'a la chambre de Victoire. Mon sang ne fit qu'un tour quand je trouvère une lettre.

Mon cher Emilio, j'ai t'en de choses à te dire, si tu lis cette lettre c'est que je n'ai pas eu le courage de te dire avant. Il y a tellement de mots que je n'arrive pas a prononcer, alors j'ai décidé de te les écrire, pour ne pas oublier mais aussi dans l'espoir un peu fou qu'un jour tu les liras. Camilia est courageuse, tu l'as verrais avec Victoire tu serais si fière d'elle, car derrière la femme qu'elle laisse voir ce cache un cœur, un cœur vraiment pure et bienveillant. C'est tellement dure pour elle, elle m'a beaucoup aidée et je lui en serai toujours reconnaissante, ne lui en veut pas car elle m'a aidée, elle m'en a voulu mais elle a compris. Ces derniers mois, j'ai passé mes journées avec elle, elle te ressemble tellement j'ai l'impression de te voir dans ses sourires.

Elle m'a beaucoup aidée, tu sais, quand j'ai appris que j'étais enceinte, mon monde s'est écroulé. Comment pourrions-nous être heureux avec cet enfant dans ce monde ?

Tu m'as dis lors de notre dîner que cet enfant été le sien mais la vérité c'est qu'il est le tiens, le nôtre. Je ne sais pas si tu vas me croire mais il ne s'est jamais rien passé avec lui, il n'y avait que toi qui comptait, j'essayais de te chercher auprès de beaucoup d'hommes mais ce fut en vain. Je le voulais ce bébé, tu sais, je lui parlais de toi, de Tommy, de Steve et de Camila, je m'étais inventée cette histoire que l'on se reverrai a sa venu mais aujourd'hui j'ai compris qu'il fallait que je rentre et que je nous laisse dans le passé, Camila ma convaincus de te prévenir que tu allais devenir papa, fin, géniteur, je suis désolé et j'espère qu'un jour tu comprendras mon choix.

J'ai quelques chose a te dire Emilio, mais pour la première fois depuis que je tiens ce stylo, j'ose pas, je ne suis pas celle que tu penses, je ne suis pas Safia Dyke, je suis l'essaie expérimentale n°37, je suis un enfant que l'on a crée, pour faire devenir une arme, une arme de guerre, j'ai été façonnée a reprendre les mafias et gangs de mon père, je puis dire que je suis son ouvrage. Mon père a eu avant moi et avec d'autres femmes, d'autres enfants fin des essaies mais quand il a conclu qu'ils ne seraient pas assez forte, il les a sauvagement tuée, tel est mon destin. Au début de notre histoire, tu pensais que je n'étais qu'une pauvre fille a papa, la vérité c'est que je le pensais aussi mais mon enfance a été bercé par une mère aimante mais par un père cruel, j'ai passé la majeur partie de mon temps enfermé dans une cage avec des chaines, ensuite dans un camp oû j'ai crée ma famille et j'ai essayé de proteger les miens le plus possible mais a chaque fois mon passé revennez, j'étais une petite fille rebelle et pour sortir de cette pièce j'ai accépté de partir dans son clan pendant quelques années mais la bas aussi j'étais sans cesse crouer de bleus .

Je pars, mon frère a besoin de moi, tu ne dois sûrement pas comprendre mais nous avons vécu l'enfer ensemble, l'humiliation, la torture mais surtout la reconnaissance. Tu m'as apportée pendant ces nombreux mois, la légèreté, l'amour, la bienveillance mais surtout la liberté.

Je te remerciai jamais assez de ce que tu as fais pour nous, tu vas me manquer mais je te jure, je suis désolé mais aujourd'hui ma famille a eu besoin de moi, merci pour cette dernière nuit ensemble. Tu as su rentré dans notre famille et je te serai éternellement reconnaissante. Aucun mots ne serait à la auteur pour t'exprimer à quel point cette décision est difficile.

Ne me cherche pas, cela serai dangereux pour toi.

Je t'aime et je t'aimerai toujours,

ta Fiore et ta princesse.

Mes larmes devallés mes joues, pourquoi me fuis-y'a t'elle ? Mais avant que je ne puisse prendre mon téléphone, une main venait d'effacer mes larmes, je remontais mes yeux vers la personne qui tenait mon visage et je vis dans ses yeux de la culpabilité.

« Elle porte vraiment mon enfant Camila ? »

avant qu'elle ne puisse répondre je commençai a hurler et a tout casser sur mon passage, c'est à ce moment ou je vois le médecin me piquer quelque chose dans le cou, je n'es pas eu le temps que je commençai a m'effondrer sur le sol.

Elle hocha la tête de haut en bas avant de venir me faire me coucher sur le lit, elle allait partir au moment ou je pris son poignet.

« Reste avec moi s'il te plait »

Nous ne somme pas proche, nous acvons beaucoup été en contraction durant toute notre enfance mais j'ai besoin d'elle.

« Oui, fait moi une place » dit-elle en s'avançant dans le lit, elle reprit la parôle

« Je lui est promis de veillé sur toi, je suis désolée, je vais être la pour toi »

FioreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant