Chapitre 2

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Je me réveillai sous les coups de l'homme qui se tenait devant moi, cette homme qui avait briser ma vie et celle de ma mère. Mais si il y a bien une chose que je ne laisserai pas détruite c'est ma fille mon petit bout, elle a maintenant 11 mois. Je l'ai eu alors que je n'avais que 18 ans ce qui pour lui était mal vu surtout au regard de ses associés et amis. Mais derrière l'arrivé de ma fille ce cacher quelques choses que je ne pourrais jamais oublier et qu'il restera gravé en moi toute ma vie.

« La belle au bois dormant est réveillée a ce que je vois ? » me dit mon père

Je le regardai avec rage car je savais pourquoi j'étais la, Lukas, mon frère était le bras droit de mon père, nous étions énormément proche durant notre enfance mais depuis la disparition de ma mère, nous nous sommes éloignés, mon père a crée une rivalité entre nous. Mais je suis devenus une tueuse a gage réputé et voir même la meilleure de la mafia et du clan, mais la mafia n'a jamais étais un endroit ou je voulais évolué malheureusement je n'avais pas le choix mais j'avais appris a aimée ce que je faisais quand je vécus les punitions de plus en plus dure. Je ne savais pas encore ce qui m'attendais mais je savais que ça n'allais être rien par rapport aux dernières.

« Tu oses ne pas me répondre mon ange ? Tu sais que je ne suis pas un homme lâche mais toi tu es une femme lâche, pourquoi Safia tu ne l'as pas tuée, tu avais seulement a faire cela alors dis moi comment une salope aussi réputée que toi n'arrive pas a tirer sur une enfant qui ne bougeait pas? » me dit-il en hurlant.

Il savait que je ne répondrais pas car ce n'était pas mon genre et ce n'étais pas la première fois que je ne faisais pas ce qu'il voulait mais ce qui l'agaçait le plus est qu'il n'arrivait pas a dominer la femme révolté que j'étais, je ne pouvais pas enlever la vie a une pauvre enfant qui par maladresse avait vu un homme de la mafia tué sauvagement une femme, ce qui d'ailleurs était ironique car cet homme l'avait tué en pleine rue un jour de marché. Mais mon cœur de maman ne pouvait pas imaginer cette princesse sans vie alors même si je savais que j'allais en payer les frais, je ne l'avais pas fais.

Je remettais mon regard dans le sien, quand un sourire arrivait sur ses lèvres, un sourire mauvais, il s'abaissa et me chuchota en même temps de remettre une mèche derrière mes oreilles.

« Attention Bella, tu ne voudrais pas que le papa de Victoire revienne te voir si ? Elle voudrait une sœur ou un frère ou encore mieux un bébé rien qu'a elle ? » me dit mon père en me tenant la mâchoire

Mon sang ne fit qu'un tour en moi, comment pouvait-il me dire ça et encore pire en voulant faire du mal a mon bébé ?

« Touche un seul de ses cheveux et je balance tout ce que je sais sur ta mafia , à la mafia italienne pauvre con » lui répond je en lui crachant dessus.

Il était vexé et il savait que je savais des choses, des choses qui pour commencer pouvait me rendre très riche mais aussi puissante, mon père trafiqué des choses louches et la mafia italienne avec qui, il était en alliance et associé ainsi que la mafia espagnol commencer à lui tourner le dos. Leurs contrats étaient régit par de nombreuses règles et lois ce qui rendait mon père la plus part du temps hors la loi car il abattait tout homme de la mafia italienne ce qui d'abord avait surprit son dirigeant, le célèbre Emilio Costa, la pire espèce sur terre, il était un homme froid et sans pitié et quelques peut déranger, mais au fur à mesure du temps, il se rendait compte que c'était mon père qui était responsable et là, la colère emportait cette homme et il décida de se venger en faisant alliance avec d'autres mafias. Officiellement mon père et lui étaient toujours alliés mais officieusement mon père était seul, la mafia espagnol la quitterait dés que la mafia italienne partirait.

Il se releva en silence et il enleva les chaînes autour de mes poignets avant de disparaître dans l'ombre de cette porte. Je m'avança jusqu'à ce que je tombe sur une table, une vieille table en bois où était posé mon téléphone et mon sac a main, il fallait que je sois à 10h00 a l'hôpital, j'allumais mon téléphone et j'apercevais qu'il était seulement 8h00, il fallait que j'aille me laver déjà j'étais rassuré, ma fille était avec mon frère, nous avions plus de relation fraternelle mais il était sûrement la seule personne de ma famille a aimé mon enfant. Je me dépêchais de rejoindre mon appartement alors je sortais du sous sol de cette maison qui fut celle de mon enfance mais celle de mes tournants et de mes cauchemars. Car oui, mon père a la naissance de ma fille, m'a mit dans un appartement car il voulait pas d'après lui vivre avec une « bâtarde » mais cette fameuse « bâtarde », il était lui même le responsable.

Je vis a seulement quelques minutes de chez mon père, je vis dans un appartement assez luxueux mais en plus de suivre des cours de droit a domicile, je travailles les soirs dans une boite de nuit en temps que serveuse, cela me permet de payer la nounou imposé par mon père. Mon appartement ce constitue d'une cuisine ouverte sur un grand salon ainsi que 3 chambres, je vis ici avec le papa de ma fille Charly et avec Victoire notre fille.

Charly et moi nous nous sommes rencontrés, quand je suis rentré la première année de Turquie, je n'avais alors que 14 ans et lui 17, nous étions seulement ami mais plus les années passées, plus nous ressentions des sentiments l'un pour l'autre, à mes 16 ans, nous nous somme mis ensemble, nous nous voyons peut de fois dans l'année mais nous nous parlions beaucoup. Il était le fils d'un tueur a gage de mon père et il l'est lui même devenus a ces 18 ans, quand je suis rentré, notre relation est devenus sérieuse mais un jour mon père l'a apprit et nous avons du rompre. Ce fut douloureux pour nous mais nous sommes restés amis avec une amitié assez ambiguë mais un an après j'ai appris que j'étais enceinte le jour ou j'accouchais, bien évidemment ce n'étais pas lui le père mais c'est lui qui est venus a l'accouchement et qui depuis est resté a mes cotés pour élever cette enfant qui n'était pourtant pas la sienne mais qu'il aime tout autant. Charly a les yeux verts et j'ai moi même les yeux vairons, j'ai un œil bleu et un œil vert tout comme ma mère, Victoire est née avec un œil vert assez sombre et l'autre beaucoup plus claire ce qui nous a fortement aidé pour pas que les autres saches que Charly n'était pas le père de Vivi. Hormis mon père et lui, personne ne sait qu'elle n'es pas de son sang. Nous ne sommes plus ensemble mais nous sommes de vraie amis, ceux sur qui on peut vraiment compter.

Je me mets a faire le ménage, je n'ai jamais appréciée le faire mais quand je suis lancée, je ferai même le toit, ensuite je fonce a la douche et j'opte pour un pantalon noir simple et un top blanc suivit de ma veste en jean. Et je me rendais à l'hôpital.

FioreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant