《Neyla : Mon amour interdit.》
Il m'a kidnappée... mais c'est mon cœur qu'il a volé. L'ennemi de mon frère est devenu mon interdit.
Neyla & Seymin ❤️ une histoire qui n'aurait jamais du exister.
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
Après avoir dit au revoir à Sey’, je suis rentrée dans l’université, un peu perdue.
J'avais la tête à l'ouest vraiment, déjà je venais de me mettre en couple avec SEYMIN ! Et la, je rentre à l'université.
Il y avait pleins de monde. Des gens de mon âge, des gens beaucoup plus vieux. Ça m'a soulagée quand j'ai vu des oukhti voilées.
Mais quand je suis rentrée dans le couloir une surveillante m'a foncée dessus et m'a hurlé :
Surveillante : LE VOILE EST INTERDIT ICI !
J'ai froncés les sourcils.
Moi : Ah bon ? Mais je pensais que c'était autorisé à l'univers...
Elle m'a coupé.
Surveillante : NON ! C'EST INTERDIT !
Je la regardais trop bizarrement. Vraiment j'ai pas compris son délire donc à contre cœur j'ai retirée la moitié de mon voile.
J’avais mon voile au milieu du crâne, donc on voyait mes cheveux.
Surveillante : EN ENTIER !
J’étais dégoûtée. J’avais l’impression d’être nue et de commettre plein de péchés. J’essayais de camoufler mes cheveux du mieux que je pouvais mais elle lâchait pas l'affaire. Donc je l'ai complètement enlevées et je suis partie.
Mais une fois plus loin, je l'ai vite remis. Je vous jure je voulais chialer. Je comprenais pas ? C'est autorisé ou c'est interdit ?
Je retenais mes larmes. En plus j'étais complètement perdue ici. Rien ne m'étais familier. Même l'odeur de l'endroit c'était pas familier pour moi.
En plus je ne trouvais pas Rania et Inaya dans cet immense établissement, encore inconnu pour moi, alors j’ai sorti mon portable avant d’envoyer un message aux filles :
Moi aux filles : Vous êtes où ?
Rania : Toi, t’es où ?
Moi : En bas, vers les toilettes.
Rania : Ok, monte d’un étage, on est sur la droite.
Je me suis donc dirigée vers les escaliers avant de monter. L’université n’avait rien à voir avec mon lycée. C’était tellement grand ! En plus, elle était construite en mode spirale : il y avait des escaliers partout, des virages partout…