《Neyla : Mon amour interdit.》
Il m'a kidnappée... mais c'est mon cœur qu'il a volé. L'ennemi de mon frère est devenu mon interdit.
Neyla & Seymin ❤️ une histoire qui n'aurait jamais du exister.
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J’ai donc parlé une bonne partie de la nuit avec ce fameux Algérien. Il s’appelle TAJ-EDDIN — qui se prononce Tajdine. Je trouvais son prénom vraiment beau et original.
Mis à part ça, rien d’intéressant. C’est un mec banal : il aime le foot, il vit avec ses parents, il n’a qu’un frère… Il va encore à l’école. J’ai rien appris d’intéressant, en vrai.
De toute façon, à mes yeux, tous les hommes du monde sont fades puisque mon cœur est déjà pris.
Je trouverai toujours des défauts à un autre homme, jusqu’à ce que mon âme se détache de celle de Seymin…
Dans ma tête, j’avais la chanson de Nekfeu — Galatée — qui résonnait quand je parlais à Tajdin, en particulier cette phrase :
« Les autres femmes manquent de sel, je ne croque pas un bout de ces repas sans goût. »
C’est tellement réel.
Même si j’ai arrêté d’écouter de la musique parce que c’est haram, je me reconnaissais dans ces paroles.
La chanson Galatée de Nekfeu représente trop notre histoire d’amour, à moi et Sey’.
C’est pour ça que je n’arrêtais pas de la chantonner sans l’écouter, pour ne pas prendre de péchés.
Je me forçais tout de même un peu à parler avec Tajdin, pour oublier celui qui détient mon cœur. Mais en vrai, c’était une perte de temps.
Actuellement, j’étais dans la voiture d’Aymen avec Inaya et Rania. Aymen nous ramenait à la boutique de la negafa.
Une fois devant la boutique de la negafa, on est descendues de la voiture.
Puis Aymen a ouvert sa fenêtre avant de dire à Rania :
Aymen : Tu m’appelles quand vous avez fini.
Rania : Ça marche.
Il lui a déposé un baiser sur le haut de la main avant de redémarrer.
Je vous jure elle a tellement de chance. Je donnerais tout pour vivre ça avec Seymin.
La negafa nous attendait devant sa boutique avec un sourire aux lèvres. Elle nous a passé le selem avant de nous faire entrer.
Elle nous a invitées à nous asseoir sur de beaux fauteuils mauves, puis elle nous a ramené le atay ainsi qu’un beau plateau de gâteaux.
