《Neyla : Mon amour interdit.》
Il m'a kidnappée... mais c'est mon cœur qu'il a volé. L'ennemi de mon frère est devenu mon interdit.
Neyla & Seymin ❤️ une histoire qui n'aurait jamais du exister.
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Arrivée près de chez moi, j’ai reçu un appel. J’ai froncé les sourcils en voyant la personne qui était en train de m’appeler.
Seymin : C’est qui ?
Moi : Inaya.
J’ai donc répondu, trouvant ça bizarre qu’elle m’appelle, parce qu’elle le fait très rarement.
Moi : Allô ?
Inaya : NEYLA, COMMENT ÇA, T’ES ENCEINTE ?!!!
Moi : Quoi ?!
Quand elle m’a dit ça, j’ai ressenti un coup de poignard en plein cœur. J’ai commencé à faire une énorme crise d’angoisse. Comment elle sait ? Ma respiration devenait de plus en plus haletante.
Je comptais ne l’annoncer à personne avant mon mariage, sauf à Rania, étant donné que je n’avais pas pu retenir ma langue et qu’elle savait pour moi et Sey’, le soir de son mariage.
Inaya : TOUT LE MONDE LE DIT, PUTAIN ! DIS-MOI QUE C’EST FAUX ! COMMENT C’EST POSSIBLE, NEYLA ?!
Moi : Comment ça, tout le monde ?
Inaya : TOUT LE QUARTIER ! Y’A TON FRÈRE BILEL QUI…
Et pile à ce moment-là, on venait d’arriver en bas de ma tour, où j’ai vu Bilel déchaîné. Il était comme un fou, en train de hurler, de crier après ma mère, d’insulter les passants qui le regardaient taper sa crise…
Ma mère était là, elle pleurait. Je pense qu’elle essayait de le calmer, mais en vain. On aurait dit un démon.
Moi : Quoi, Bilel ?
Inaya : IL EST COMME UN FOU ! IL EST VENU JUSQU’À CHEZ MOI ! C’EST TAJDIN QUI A TOUT BALANCÉ À TOUT LE MONDE ! JE SUIS CHOQUÉE, NEYLA, J’Y CROIS PAS !
Moi : Inaya, écoute, je te laisse.
Et sans lui laisser le temps d’en dire plus, j’ai raccroché. Là, j’étais très mal. Seymin voyait la même scène que moi.
Seymin : Je vais aller porter mes couilles.
Moi : Non, Seymin !
Je l’ai retenu par le bras. J’avais tout sauf besoin que l’un d’eux perde la vie à cause d’une bagarre qui allait éclater.
Je me serais sentie tellement coupable. Tout ça, c’est de ma faute. Wallah, c’est de ma faute. J’avais envie de pleurer.
Seymin a retiré son bras de ma main avant de sortir de la voiture et de crier :
Seymin : Oh, Bilel !
Quand Bilel a vu Seymin, j’ai cru que le monde était en train de s’écrouler autour de lui. Il s’est stoppé net avant de buguer peut-être cinq secondes. Puis, c’est comme s’il était possédé : il est devenu tout rouge avant de courir vers Seymin en hurlant :