- En tant que femme, vous n'avez pas de choix, vous enfanter, vous êtes conditionnés et faites, pour servir, assouvir, et faire.

Cette conversation est lunaire, et qu'importe ce que note avocate, dira cela ne sera pas dans le sens, que l'on souhaite.

Le juge tapait trois fois de son marteau, afin de rendre son verdict.

- Blake cole, fille de Rachel Cole et de Anderson Grim,

Sera incarcérée pour le meurtre de Mike Sawyer. Et se verra d'y rester pendant 15 ans, Rachel cole, ex-femme de son défunt mari, Mike Sawyer. Se verra contraint d'une peine de 1 an, pour le meurtre prémédité de son défunt mari.

- Pourquoi, votre honneur, prend-elle moins que sa fille dans ce cas ? demande notre avocate.

- Parce qu'elle a juste prémédité, mais pas tuer.

- Ce n'est pas juste fit-elle en criant.

- Comme avoir tué cet homme, ne l'était pas non plus Madame Mitchelle.

Il tape encore trois fois, avant de dire,

- Le procès est terminée.

Et des gardes, viennent nous récupérer, pour nous garder sous surveillance, le temps qu'un camion pénitencier, viennent nous récupérer.

Dans la pièce, où ma mère est moi attendions, deux gardes étaient postées de chaque côté.

- J'aurais dû tirer moi, ou mourir, mais je n'aurais pas dû t'appeler fit-elle en pleurant.

- Maman dis-je en soupirant,

nous étions toutes les deux menottées, et assises à même le sol.

- Non, ce n'est pas ton rôle d'avoir pris ma défense, c'était mon rôle à moi.. Et maintenant... Te voilà.. fit-elle en manquant d'air tellement qu'elle pleurait.. 

- Maman, je ne regrette pas une seule seconde, et si c'était à refaire, je le referais.

- Non fit-elle en pleurant de plus belle, non je t'interdit de me dire ça.

Ce n'est pas à toi de me protéger, c'est à moi de te protéger, et de me protéger.

- Maman, la peur paralyse, et c'est normal d'avoir peur. C'est normal de ne pas savoir comment agir. C'est normal, parce que c'est humain,

tu ne peux pas être une super-héroïne dans la vraie vie tu sais.

Tu ne peux pas, ne pas ressentir de la peur, face à cette situation.

- Mais, comment tu as fait toi ? tu n'as pas eu peur ? fit-elle entre deux sanglots.

- Non, parce que je n'ai pas laissé le temps à la peur, de me monter à la tête, j'ai agi. J'ai agi, parce que sinon, il aurait été trop tard.

- Mais, maintenant tu as tout perdu à cause de moi fit-elle en pleurant à nouveau.

- Ce que j'ai perdu, je le retrouverai plus tard, ou dans une autre vie.

- Je suis tellement désolée, ton père doit se retourner dans sa propre tombe.

Je me mis à rire tristement, avant de dire,

- non, je suis sûre qu'il serait fier de moi, et enfin soulagé, de te voir libre.

- Il.. Il me manque fit-elle en triturant ses doigts.

- Oui, moi aussi maman, il me manque..

- Il est parti trop tôt, trop vite fit-elle en regardant le plafond.

- Oui... Dis-je, en regardant mes mains jointes.

Mon père était vendeur dans une épicerie, et un jour il s'est fait braqué,

et les hommes ont tiré, alors qu'ils avaient eu ce qu'il voulaient.. L'argent...

Ils ont tiré sur tout et tout le monde.. Les juges n'ont pas condamné les braqueurs, par manque de recherche. Et les caméras étant détruites, et les bandes de sauvegarde effacer, il n'y avait plus rien à chercher. à part, des fantômes, qui avaient volée, et tuées.

- Je viendrais te voir chaque jour de ma vie, Blake fit-elle en me prenant dans ses bras, difficilement, maintenue par des menottes.

- Ne t'arrête pas de vivre pour moi, maman, tu es libre.

- Oui, mais tu es ma fille, alors je viendrais.

- Je t'aime maman,

- je t'aime aussi ma petite chérie fit-elle en pleurant dans mes cheveux bruns.

Ma mère est moi avions ça en commun, des cheveux bruns. Elle ils étaient longs, moi ils arrivaient à la poitrine. J'avais les yeux bleus de mon père, et elle des yeux marron, comme ses cheveux.

- Prends bien soin de toi, s'il te plaît Blake,

- Toi aussi maman, ne laisse plus personne, te faire du mal.

- C'est promis, fit-elle tristement, avant que les gardes nous séparent. 

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