chapitre un : Une vie de prise, une autre de sauvé.

2 0 0
                                    


Tribunal de Chicago, 8h45


 Le public était présent, ce public est la famille de mon beau-père. Où devrais-je dire ex beau-père, au vu de son état actuel.

Ma mère et moi avions dormi en cellule, jusqu'à ce qu'on décide de notre sort, nous étions toutes les deux vus comme les coupables. Nous avions toutes les deux, des tenues de criminelles, des combinaisons de couleurs oranges.

Silence fit le juge, commençons les faits, si vous le voulez bien plaidait-il de son marteau de justice.

- Votre honneur, fit notre avocate, elle est une femme de couleur, et aussi belle qu'un diamant. Elle est super, et elle se bat, pour ce qui est juste, elle fait de son mieux, pour que la justice soit rendue.

- Oui madame, Mitchelle, qu'aviez-vous à dire pour défendre les accusées ?

- Ce que j'ai à dire, c'est qu'elles ne sont pas coupables, mais victime votre honneur. Elles se sont défendues, face à cet homme qui était armé, et qui avait un comportement violent et offensant, envers sa femme Rachel Cole.

- Bien, et dans la loi américaine, toute personne aillant une conscience, ont le droit de disposer d'une quelques conque armes, Madame Mitchelle.

- Oui, mais cette personne-là n'était pas consciente, elle n'avait pas un comportement à avoir fit-elle, en tentant de nous défendre.

- Et quel comportement faut-il avoir pour avoir droit à une arme madame ?

- De la conscience, et être sain d'esprit, tout ce qu'il n'avait pas. Un homme, qui à ce genre de comportement, n'a pas le droit, d'être en liberté. Un vrai homme, ne bat pas sa femme, ne la viole pas, et ne l'insulte pas, lorsque ça ne va pas.

- Mais madame Mitchelle, aviez-vous demandé, à vos accusées, pourquoi avait-il été comme ça ? Peut-être, que le problème ne vient pas de lui, mais de ces deux femmes, que vous tentait si bien que mal, de défendre.

Notre avocate se mit à rire, 

fallingOù les histoires vivent. Découvrez maintenant