après le repas, nous allons à la douche, Monica, me fait signe que les gels douche , serviettes, brosses à dents, et brosse à cheveux, ne sont pas fournis dans la prison. Qu'il fallait se le faire envoyer, où l'acheter dans la supérette de la prison. Où c'étaient les personnes extérieures qui payaient pour nous, heureusement, elle avait le stock. Et, elle à pu me donner de tout, après ça, nous faisons un tour dans la prison, et dès la sonnerie qui nous indiquait que nous devions rentrer dans nos cellules retentissait. Nous se dirigeons toutes au même endroit, en se mettant bien à la ligne, elle m'indiquait où elle était, et me donnait un point où on pourrait se retrouver le lendemain. Le point était à l'entrée et qui faisait office de sortie, de la pièce, dans laquelle on se trouvait. Après le décompté effectuée, nous regagnons toutes nos cellules, où la lumière s'éteignait. Je me demandais bien comment se passait ceux qui voulaient lire... Peut-être avaient-ils une lampe ? c'est possible, puisque j'avais vu plus tôt des prises, mais aucun meuble pour acceullir une lampe. Est-ce que ma mère avait-elle ça aussi ? comment allait se passer son séjour d'un an ? et ce premier soir ? comme s'était-il passé ? Mille et une question, me trottaient dans l'esprit.. Et puis, plus rien le noir.... J'avais réussi enfin à m'endormir visiblement..

- Tu vas faire quoi sale pute hein ? me tirer dessus ? Fit mon enfoiré de beau-père.

- Non Blake ne fait pas ça, ne le tue pas... Tu vas payer mes conneries sinon, et je ne veux pas, que tu payes à ma place, réplique ma mère affolée.

- écoute ta bonne mère, pour une fois, qu'elle ne dit pas de saloperie fit Mike en riant, il avait encore bu visiblement.

- Bla..

3 coups de feu, son corps qui s'écroule dans une mare de sang.

- Salo fit-il avant de rendre son dernier souffle.

- Non blake non, tu vas finir en prison fit-elle en pleurant de toutes ses larmes.

Les chiens des voisins qui aboiyent,

- aide-moi à tout nettoyer fit-elle, on peut faire passer ça.

je me mis à rire,

- faire passer ça ? Tout ce sang ? et le corps tu en fais quoi hmm ?

- vas-en alors, je dirais que c'est moi Blake.

- Non, maman.

- VA-ENN hurle-elle affolée,

- Bonsoir, on faisait une patrouille, et on à entendu des pleurs, et des coups de feux. Je suis, l'officier Mayron.

Ma mère et moi se retournions et vis trois officiers devant l'entrée,

- qui vous a permis d'entrer crache ma mère.

- Nous, et le droit qu'on a fit Mayron,

- vous n'avez pas de mandat fit-elle rageusement.

- en effet, mais vous avez commis un meurtre fit l'un des officiers.

- et vous, vous êtes en infraction fit ma mère,

- ici l'officier Layer, nous avons affaire à deux femmes, et un cadavre mort, depuis deux ou trois minutes fit-il sur ton talkie.

C'était donc lui, l'un des officiers, qui nous avait parlée à peine,

- Embraquez-les fit un homme au talkie.

- On va devoir vous emmener au poste de police, afin de vous interroger fit l'un des officiers, le dernier qui ne c'était pas encore présenté.

- et vous êtes fit ma mère amèrement,

- je suis l'officier, linkolm.

Je me réveille en sursaut, la sonnerie retentit dans toute la cellule,

pourquoi ça sonne ? je tourne mon regard vers la fenêtre, il fait nuit.

- ALLEZ TOUT LE MONDE DEBOUT fit l'un des gardiens,

- il se passe quoi râlent les femmes.

- Un exercice d'incendie fit-il en tapant sur les barreaux des cellules,

franchement ? À cette heure-ci ?

Une fois toutes debout, et en place, nous allons dehors, après qu'ils nous aient toutes comptées. Il faisait bon, nous étions en août, je n'avais donc pas besoin de prendre une couverture. Heureusement, la prison donnait un coussin et une couverture, à défaut de tout le reste. 

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