Avez-vous un mot pour toutes ces personnes-là ? elle demande.

Quelle personne ?

Les victimes.

Oui, dis-je, je voudrais leur dire, qu'ils sont qu'elles ne sont pas seules, qu'ils sont qu'elles sont plus forts, et fortes que tout. Qu'ils peuvent surmonter, survivre, et qu'ils guériront avec le temps, parce que le temps guéris, même si on n'oublie pas, jamais en fait.

C'est un beau message fait-elle, en souriant, merci pour votre honnêteté fait-elle en se levant, avant d'échanger une poignée de main avec moi. Puis, je hoche la tête, en la remerciant avant de quitter sa pièce, cette interview, et j'espère du fond de mon cœur, que tout ce que j'ai dit, surmonter, et vécu, les aideras, toutes ces victimes. Concernant, la mise en place gratuite, d'une association, pour ces personnes, je vais la mettre en place, et pour ces cours de self-défense, je vais le faire aussi. Et avec mon argent, je vais même aider d'autres associations, comme ceux et celles qui sont victimes de viols, et une autre association qui lutte, contre les violences, et accueille les personnes, dans le besoin. Ce sont des associations, comme j'ai l'idée de faire, mais je peux les aider, alors je le ferais, parce que plus il y en a, moins les victimes, se sentiront seules. Parce que je sais, comment on est dans cette situation, on se sent seule, de côté, personne pour nous aider. Personne ne nous croit, personne n'est là, alors, je veux essayer de faire un maximum, pour que ces personnes voient un changement, et je le ferai au plus vite, c'est certain. À mon retour à l'appartement, Monica nous dit qu'elle a acheté un appartement à 1 million et une voiture, et qu'avec cet appartement, elle gagnera un salaire, pour quand elle n'aura pas de revenu, de ses créations. Et moi, je ne sais pas si je veux rester habiter avec Aswer, ou avoir ma propre indépendance, alors, je lui en parle calmement le soir dans le lit. Et il me dit qu'avec les 25 milles que j'ai, autant acheter quelque chose, alors, je lui demande de m'accompagner dans mes recherches, et il accepte. Et c'est pour ça que je l'aime, parce qu'il est là, pour moi dans toutes les épreuves.

Quelques jours plus tard, j'ai reçoit un appel téléphonique, ils ont vu mon interview, et on a eu mon numéro de téléphone, par le gala de charité. C'est un hôpital, ils ont entendu parler de moi, par le gala, et l'interview, et veulent que je leur fasse trente tableaux, dans le thème que je veux. Pour donner aux Patients l'envie de se faire soigner, au lieu de l'envie de déprimer. Pour la somme de 200 milles, ils me proposent cela, alors je dis oui, puis au moment de raccrocher, je saute de joie, ils me font un virement instantané, pour les frais de matériel, et de temps, et une fois qu'ils seront prêts, j'aurais plus qu'à aller les voir, pour leur remettre en main propre.

 Je peins, des fleurs, des montages, des couchers de soleil, des planètes, l'océan tout ce qui donne envie de rêver, de se battre, de positiver. Cela me prend deux mois et demi, et une fois fais, je vais les voir toute fière, où plutôt, je vais voir le directeur de l'hôpital, qui m'aide même à tout décharger. Puis au moment, de la signature, dans son bureau, il me dit à combien mon talent, est extraordinaire, que j'ai de l'or dans les mains. Que j'arrive à faire rêver les autres, et je souris, parce que c'est tout ce à quoi je m'efforce, de travailler et de retravailler, je veux faire rêver, vibrer. Je veux que chaque toile, chaque peinture, soit une histoire pour autrui, comme un bon livre, qui nous emporte, et nous fait voyager. Un livre, dans lequel, on y retrouve un peu de soi, alors qu'on n'est pas le créateur, je veux pouvoir faire ça, et quand le directeur me dit, que j'ai atteint ce but, je suis aux anges. Puis, il me raconte, à combien, il est touché par mon interview, il avait eu les larmes aux yeux, et dans l'hôpital, il souhaite m'offrir, et offrir à toutes ces personnes-là, dans le besoin mon association, et en faisant ça. J'allais pouvoir enfin aider les autres, d'une autre manière, en plus de mes œuvres, alors j'accepte volontiers, pour les cours de self-défense, il connaît des personnes, qui peuvent en créer un, et il parlera de moi avec plaisir. Il me recommandera même autour de lui, pour mes oeuvres, et je m'en languis, après une poignée de main, et un hochement de tête, je quitte le bureau, je suis une femme heureuse, parce que j'arrive à faire ce que je voulais. Et j'arrive à aider les autres, du mieux, que je peux, et c'est tout ce qui compte, pour moi. Quelques jours plus tard, en effet des clients ont voulu que je peigne des tableaux colorés, pour leur grande villa qui manquaient de couleurs. Pour 8 tableaux, donc une somme de 15 milles dollars, avec cette somme, j'achète moi aussi un immeuble, pour quand je ne pourrais pas vendre de mon art, au moins, je ne me retrouve pas sans rien. Monica, ouvre sa propre association aussi pour lutter contre la délinquance parce que vendre de la drogue, se prostituer et autre trafic ne devraient pas être une option. Alors elle ouvre une association pour les personnes dans le besoin. Et les enfants solitaires, qui doivent se faire seuls comme elle. Et je suis ravie, de voir qu'elle fait comme moi, aider les autres, parce qu'on a toujours besoin d'aide, même quand on croit, ne pas en avoir besoin. Après, quelques recherches, Aswer et moi avions trouvé une maison, une belle maison aux grandes baies vitrées, où nous avions mis des rideaux, la maison est à plain-pied, loin de centre-ville. Les couleurs des murs, et du sol, sont en marbre, noir et blanc, avec parfois des dorures, il y a un plan de travail en marbre avec son plaquage vitrée noir également, et un évier noir. De grands placards, pour ranger, plein de choses dans la cuisine, un salon avec un grand canapé blanc, une table basse transparente, un tapis sous celle-ci, de couleur beige à poil long. Une grande télé écran plat, sous un meuble en bois noir, qui prends tout le pend du mur, et qui viens épouser la longue baie vitrée, qui prend tout le prends de mur, du salon jusqu'à la cuisine.

La salle à manger, est dans une pièce, elle est grande, la table est blanche, comme le sol, qui lui est en marbre blanc. Un lustre en cristal, illumine la pièce, comme une pluie d'étoiles, et des fleurs ornent dans un vase, sur la table, quelques-uns de mes tableaux ornent la pièce à manger, dont ce que j'ai fait en prison, où il y a Aswer, Monica et moi au bal de la prison, ou encore Monica et moi, où se trouve un coucher de soleil derrière nous. 

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