Ducoup lundi c'était les cours comme dab. J'étais dans la voiture avec la madre et ducoup bah elle était pas trop bien fin sa soejr elle avait un cancer donc là ça allait plus trop. Puis elle voyait ses fils sombrer et tout wallah elle me faisait trop de la peine.
Ma maman elle est trop belle.
Qu'Allah préserve nos mamans.Maman: Bisous ma fille.
Bref j'allais descendre pour aller à l'arrêt de bus et là c'est pas je vois j'ai oublié de mettre mes chaussures. Wallah elle m'a laissé descendre sans sabate, sous grosses pantoufles la hchouma.
Maman: Je fi pas dimitour ngoulha lik, faut je travaille.
Moi: Ma3lich safi.Bref j'avais graaave le seum j'ai appelé Firdaws, ma shab deeepuis, elle est trop belle fin je sais même pas pourquoi elle reste avec moi. Mais brrref on s'aime grave.
Firdaws: 3ido bilah men sheytan rajim, c'est quoi cette voix de tirex.
Moi: Meuf j'ai pas de chaussures.
Firdaws: Parle français stp
Moi: Nan wsh j'ai oublié de les mettre j'ai des pantoufles wsh
Firdaws: Hlef
Moi: WallahElle s'est tapé un gros fou rire c'était trop drôle.
Firdaws: hhhh Hechma nesssss !!
Moi: Ouais grave
Firdaws: Mais tg frère j'ai marché sur une kharya. C'est ta faute aussi tu m'appelles 3la sbah (de bon matin).Ducoup je l'ai vu arrivé avec sa grosse merde au pieds mdrrrr. On est rentrés chez elle ducoup j'ai prévenu ma mère elle m'a fait une crise. Elle m'a dit la pire chose : « t'es comme ton père ». Bref j'ai grave pleuré j'étais trop sensible à ce moment là. De base on comptait retourner en cours l'aprem mais j'ai tellement pleurer que Firdaws elle m'a dit impossible d'y aller comme ça.
Bref la y'a mon frère Sofiane qui m'a appelée. J'étais trop stressée. Eh lui c'est le pire, il est le plus hnine mais il fait trop peur. J'ai trop peur de lui.
Sofiane: Allô ?
Moi: Ouais
Sofiane: Tu pleures ?
Moi: Nan wsh tu brailles quoi là.
Sofiane: Wallah tu pleures. Elle t'a dit quoi encore la sorcière ?Il était grave en froid avec ma mère mais c'était de sa faute. On avait un peu une relation toxique avec mes parents mais bref.
Moi: Parles bien wallah
Sofiane: Nan c'est trop que elle casse la tête à tout le monde. Vas-y elle t'a dit quoi.
Moi: Rien wsh viens me récupérer là je veux faire un tour.
Sofiane: Ça va ma dobizette j'arrive.
Moi: Bisous ma vie. Y'a Firdaws avec moi.
Sofiane: CarréIl est arrivé sous grosse Mercedes bref chaque fois il a une nouvelle voiture. Je m'inquiétais trop pour lui, il avait les yeux rouges, dans la voiture ça puais le shit brrref. Il s'en foutait d'être comme ça devant moi. Lui et moi on avait grave une relation particulière. Dans le sens où on est deux paires c'est trop bizarre pourtant il a 24 ans mais wsh c'est une dinguerie comme on est lié.
Genre il me comprend et tout. En plus on se comprend grave donc voilà. Il a vite soulever mon menton pour voir mon visage. Ça l'a énervé que j'ai pleurer brrref.
Sofiane: Eh je vais peter mon crâne wallah c'est trop sa mère.
Moi: Sayer c'est rien wsh trql.Il détestait grave qu'on s'en prenne à moi. Quand je vous dit qu'on avait vraiment un lien c'est que vraiment c'était une dinguerie. T'façon vous allez le voir.
Sofiane: Wsh y'a The rock avec toii.
Firdaws: Saleeeeeemmm
Sofiane: Plus jamais tu cris comme ça toi.
Moi: Vasy met un son là tu joues à quoi. Je t'ai dit je veux faire un tour par entendre ta grosse voix.Il a mis la madrina, ducoup direct ça allait mieux. On a fait que chanter c'était une dinguerieeeee. Même mon frère wsh. Après on s'est posé vite fait en dessous d'un bat.
Sofiane: Restez là 2 sec
Moi: Tu vas où.
Sofiane: Foug rassi (sur ma tête)Bref il est descendu, il a ouvert le coffre, il a pris un gros sac de sport.
Sofiane : 3endek vous bougez d'ici je vous tabasse.
Je savais ce qu'il allait faire bref j'avais trop le seum. Il s'arrêtera jamais.
Bref après on est rentrés à la maison, on a déposé Firdaws chez elle. Sofiane il habitait pas avec nous, il habitait dans un quartier lugubre tah les fous. Brrref. Mais ducoup il venait voir Mehdi mais il était pas là.
On est rentré, là on a vu ma mère posé sur la marche de la maison, la tête entre les mains, les larmes aux yeux. Je suis direct allée la voir et mon frère aussi malgré qu'il lui parle plus. Genre c'est vraiment un sentimental par contre et là je sais que ça la touché.
Moi: Malek mama ? (Y'a quoi)
Elle pleurait de malade wsh et je vous jure Wallahy l3adim que voir ma mère comme ça genre ça me tue. Genre rien qu'elle se coupe sans faire exprès ou quoi je me sens trop mal ma mère je l'aime plus que ma vie.
Saliha: Kheltek, elle est décédée. Ranmchi lbled (je vais retourner au bled).
Eh bref la j'étais mal très mal, mon frère il l'a aidé à se relever, à faire ses valises et tout. Ils avaient pris un billet mais ducoup j'avais cours et elle pouvait pas le payer un billet pour moi aussi donc je suis partie chez mon frère.
Ducoup je suis allée chez mon frère, c'était un petit appartement mais quand je suis rentrée y'avait du shit sur la table, des chichas, de l'alcool etc j'étais encore plus mal parce que je le voyais se détruire.
Sofiane: Smeh, la j'abuse t'as pas à voir tout ça.
Dcp je suis allée dans une chambre genre elle était toujours vide. Et je me suis allongée. J'arrêtais pas de pleurer fin je pensais que ma tante allait s'en sortir même son était ça allait pas. On se parlait au téléphone, elle avait plus de cheveux, ils étaient gris fin ça allait plus mais j'ai gardé espoir pour rien. Finalement, elle a laissé sa fille et son fils sans mère.
J'avais trop mal pour mes cousins.Mon frère il est rentré dans la chambre.
Sofiane: Tu dors ?
Moi: Non
Sofiane: Lève toi stp
Dcp j'ai fait ce qu'il a dit.
Sofiane: Viens là.Il m'a prise dans ses bras il m'a serrée grave fort.
Sofiane: Arrête de pleurer s'il te plaît wallah que tu me fais trop mal.
Il m'a forcée à manger un truc après on est tous partis dormir et voilà comme l'année 2018 s'annonçait très mal.
Le lendemain y'avait personne à la maison, j'ai pas mangé j'avais mal. Bref je suis descendue prendre l'air, yavait vla les gars devant la porte mais ils ont tous baissé la tête.
Tous : Baraka firassek (condoléances).
Ils savaient qui j'étais parce que je vous jure qu'avec Sofiane on a juste la même tête. Genre je suis lui en fille.
Bref dcp y'avait Souleymen le petit frère a Issa, un vrai pote à mon frère qui m'a suivie.
Souleymen: Wsh tu dates
Moi: On s'est vu y'a 2j
Souleymen: Ouais j'avoue. Eh j'ai appris pour ta tante. Allah y Rahma
Moi: Amin ya RabbiBref on a discuter vite fait il était grave gentil eh je le voulais deeeepuiiis c'est un bon lui.
Souleymen: Vas-y ciao l'arabe.
Moi: Sale renoi. Wsh nan je voulais dire la prunelle de mes yeux. Tsais quoi la prochaine fois dis à ta mère de me faire un fufu stp.
Souleymen: Nan j'te laisse crever de faim.
Moi: Je vais devenir comme l'autre cure-dent là.
Souleymen: mdrrrrDucoup je suis rentrée chez moi et y'avait mon frère.
Sofiane: T'étais où ?
Moi: Avec Sousou
Sofiane: Ça va mieux ?
Moi: Hamdoulilah
Sofiane: Tiens.Il m'a tendu v'la les trucs. Il m'avait pris un téléphone wsh j'étais trop heureuse c'était un iPhone et tout. Dans la coque il m'a laissé de l'argent et tout. Il m'a prit une méchante paire de chaussure, v'la les sweat fin la j'allais trop flex c'était grave des trucs de marques. J'avais pas l'habitude parce que ma mère elle le laissait pas m'acheter des trucs chers parce que c'était de l'argent sale.
J'étais trop émue je lui ai fait un câlin tah les sauvage carrément je l'étranglais. Bref après y'a Fahed qui a passé la journée nous et je vais pas m'éterniser là dessus.
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La chronique de Sana: « On se reverra si Dieu veut »
Ngẫu nhiênSalem, petite chronique qui fait du bien. J'ai pas trop de résumé à faire honnêtement, je vous laisse découvrir. Bisouille