chapitre 23

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Chapitre 23

Gabriel

Il faut que je trouve un moyen d'avoir Lia pour moi, et je m'en fou de la prendre de force, de toute façon elle ne viendra jamais d’elle-même. J'espère que mon cadeau lui fera plaisir, j’y ai mis beaucoup de cœur, et les trois putes aussi.
Quand elle sera revenue à moi, elle sera le produit phare de notre club, les clients devront payer le prix fort pour coucher avec elle, oui, je ne compte pas en faire ma petite femme gentille qui m'attend sagement a la maison, c’est ce que je voulais faire au départ, mais elle m'a fait attendre cinq ans, donc elle sera une pute, mais une pute de luxe !

Mon père a créé un club de strip-tease avec finition, il y a dix ans et les affaires marche plutôt bien, on récupère des filles aux quatre coins du pays, des filles qui veulent faire ce métier ou des filles qu’on kidnappe, car elles ont le physique parfait pour notre business, et c’est encore plus drôle quand elles n’ont pas forcément envie il faut les façonner. Mon père me donne de plus en plus de pouvoir au sein de son gang les Hell Bloods, maintenant, c’est moi qui gère entièrement le club de strip-tease, et je forme les nouvelles recrues. Il y en a une qui est arrivée il y a quelques jours et elle n'était pas coopérative au départ, mais j'ai réussi à faire preuve de persuasion d’ailleurs, elle arrive dans quelques minutes dans ma chambre, si elle se débrouille bien elle intégrera le club demain et devras commencer les pass.

En parlant d’elle, elle vient de passer le pas de ma porte, elle a mis une robe rouge courte qui s'arrête juste en dessous des fesses, et des escarpins rouge, une vraie petite pute.

Hum, je suis pressé de former Lia comme j’ai formé cette future pute.

-Bonsoir Maître. Me dit-elle.

Je me lève de mon lit, et m'avance vers elle :

-À genoux !

Elle fait tout de suite ce que je lui demande, bien, elle a compris qu’elle ne devait pas discuter les ordres d'ailleurs les quelque bleu qui lui reste atteste qu’elle a eu du mal au départ, il faudra qu’ils disparaissent avant qu’elle ne prenne son poste au club.
Je défais ma ceinture, baisse ma braguette et retire mon pantalon.

-Suce ! Lui ordonnai-je. Et n'essaie pas de mordre, comme la dernière fois.

Bien, elle se met au travail elle m’attrape à la base, fait rouler sa langue sur mon gland, et elle commence à me prendre en bouche elle creuse les joue et j’arrive au fond de sa gorge, j’attrape sa queue-de-cheval que j’enroule autour de mon poing et fait bouger sa tête pour faire de parfait va et vient, les bruit de succion de plus en plus fort m'excite énormément. Oh, putain, c’est bon, c’est bien mieux que la première fois quand elle a voulu mettre les dents pour protester.

-À quatre pattes maintenant et pas sur le lit au sol.

Elle fait encore une fois tout de suite ce que je lui dis, je remonte sa robe au-dessus de ses hanches et lui arrache son string d’un coup sec.
Et je rentre en elle, elle pousse un cri à réveiller un mort.

-Putain, tu pourrais mouiller au moins salope !

Je sors de sa chatte et vais chercher le lubrifiant, j’en mets sur ma main, et me masse la bite, et je la pénètre d’un coup sec, voilà, c’est mieux comme ça.
Je la percute de plus en plus fort, ses ongles s'enfoncent dans la moquette, j’attrape sa queue-de-cheval pour qu'elle cambre plus le dos.
Après avoir éjaculé en elle, je la pousse et elle s'écroule sur le sol.

-Aller baisse ta robe et sort, dans trois jours, tu commences à bosser, et s’il te plaît avec les clients fait comme si tu aimes ça.

Elle se rhabille et quitte la chambre, j'enlève mon t-shirt et vais prendre une douche.
Une fois ma douche finie, je regarde mon téléphone et j’ai reçu un message de mon père :

Teddy Reys:
[Il y a quelqu'un dans le local pour toi, accueille le comme il se doit, il te sera d’une grande aide.]

Je m’habille d’un pantalon noir et d’une chemise blanche et descends au local, je salut quelques gardes a mon arrivée et repère tout de suite la personne qui souhaite me voir.
J’arrive à son niveau, il est comme d’habitude, mais il a ses très légèrement tiré, je pense que son petit séjour, forcé à l'hôpital, ne lui a pas fait plaisir.

-Que me vaut cet honneur Robert. Lui dis-je

-Je veux t’aider à récupérer ma fille, et tu en feras ce que tu veux, tu as carte blanche, cette histoire a duré trop longtemps, je veux me venger d’elle et si je peux faire souffrir un peu les Reaper Of Lions au passage, c’est tout bénef. Me répond Robert Kriss.

Hum, carte blanche, j’aime bien ses mots…

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