A ..., Sonnet aride sans octaves...
Tu sais, en ton coeur, en ton âme...
Chagrin lancinant, infini...
Tu sens l'amour et la flamme...
Et l'octave qui te poursuit...Tu résonnes à l'unisson...
Intervalle zéro, sans fin...
Tu feins l'harmonie d'émotions...
Mais sa consonance t'étreint...Un assourdissant S.O.S...
Tu as ignoré ma détresse...
Et, aujourd'hui, quel vilain tour...Pour toi, à ton tour, noir solo...
Requiem du fertile Amour...
Ta vie n'est qu'un vide berceau...Ténébrio, le 11 mars 2015, à 15h22...