Far away from Alexandria, far away from Jerusalem...
Dedicated to...
I am your love, your knight, your poet so lyric,
Heart and soul, martyrs, all yours, on dedication,
Life, without your grace, is fight for inesthetic,
Where, my holy sword, rust, mute, out emotion...
At least, courteous, stripped of superfluous,
As, my chain mail from the suit of my vain ego,
Just, in armor's cuirass, which heart, is piteous,
And, from helmet, i hush, on art, our ills below ...
I hear your virtue and your beauty on wrinkling,
Here, in this outland, absence is anathema,
And, heartbreak, inexhaustible bleeding, rotting...
Your deaf tears, sour balm, chrysanthemums aroma,
Suddenly, i curse, ego, its pagan crusade,
Executioner, which, Ô my Queen, kills, us, glad...
Tenebrio, May 19, 2015, at 2H15 P.M...
Loin d'Alexandrie, loin de Jérusalem...
Dédié à...
Je suis, ton amour, ton chevalier, ton poète,
Coeur et âme, martyrs, tout à toi, dévoués,
La vie, sans ta grâce, est un combat d'inesthète,
Où, ma sainte épée, rouille, averbe, et, sans émois...
Enfin, courtois, et, dépouillé du superflu,
Tel, la cotte de maille de mon vain égo,
Je n'ai plus, qu'armure à cuirasse, au coeur, fendue,
Et, mon heaume, sous lequel, je tais, d'art, nos maux...
J'entends ta vertu et ta beauté qui se rident,
Là, dans ce lointain, l'absence est une anathème,
Le chagrin, intarissable saignée, putride...
Et tes pleurs sourds, un baume, amer, de chrysanthèmes,
Soudain, je maudis l'égo, sa croisade païenne,
Ce bourreau, ce félon, qui, nous tue, Ô ma Reine...
Ténébrio, le 19 mai 2015, à 14 H15...
