Dedicaced to..., Love is a Temple: end of Eclipse ...
Love, soul mate, my life has missed you,
You, my alter ego, my rhyme, and, my beautiful days,
Without your light : no fire, no heart, no mind,
And, life, dies, without your splendor, without your velvet...
You and I, are, the cradle and the earth,
Where, there, happiness, on a fertile, and, blessed Love,
Has, no more, hemistich between our two hemispheres,
This one, is, only, eternity and infinite pleasure...
And, if, God, from this love, from this Eden,
Here, below, has made, it, ours, such wonderful gift,
It, is, above all, to make, it, a fruitful garden,
Of which, his Holy Love, has made, us, we, King and Queen...
Neither, You, nor, I, do not, ignore, anymore, as truth,
There is, no longer, Kingdom, nor, Peace, in dissent,
But, the damnation of exile and wandering,
If, there is, any sin, against the gift, by God, given ...
Have you not, properly, understood, as me, my Love ?
If, its fair wrath, has, on us, striked down,
That is, for making, our redemption, being, absolute,
And, that, finally, free, may, keep being, in communion with, our Love...
Thus, only, freed from our egos,
Far, from each other, with the Time, which, itself, says it, all,
We have understood, that, fearing, the other one, is, taboo,
As, Love, is addictive, but, sweet, and, without pains...
Today, my Love, after the Black Eclipse,
So, that, at least, cease, penance, and, misfortune,
That, we can introduce, ourselves, to true happiness,
For the latter, as, our love is, no longer, a drafted design...
May, to, that spineless winter, of procrastination, of uncertainty,
Succeed, finally, this nice day, dawn of spring,
Where, finally, entwined, one in each other, burning,
We, will, curse, hell, from this fullness ...
Our souls, our hearts, our bodies, naked, will be one,
And in this dry land, suddenly, our two saps,
Ebb and flow, suave matrix, and, soft, sword
Will embrace for, casting iron, the brass cradle ...
Nights and days, at the crack of dawn, mornings and evenings, Love,
We will, be, only, harmony and felicity,
And, from our happiness, as so, seeded,
Your woman's body, will, make, self, Love nursery...
Yes, my love, and finally, You shall give birth to,
From your blossomed feminity, the mother,
Round belly, you will bring into the world, from our ivy,
The most beautiful thornless flower which can be ...
Apollonia, already, her name, chosen,
Tired of being not, still yet not, starts being winded, and, crying,
Do not you hear her, claiming, with all her heart,
Your return, that, finally, She can come to life ?
Yes, three of us, are tired of being, anything, but alive,
Woe is us, walking, each one, as convicts,
Stateless hearts, because, the vile demon, without faith,
Has made, our love, turning into a disguised fear...
Do not you see, then, the dark machination ?
And, this vile serpent, which, despite your defending heart,
Has, crawled up to You, in the moving sand,
Of, our Love, desolating desert ...
There, alone, helpless, weak, failing,
He has, to you, lying, front to the ultimate vacuum,
Injected, without your knowledge, its venom, which, face paints,
Psychotropic, which, has enslaved, and, is, as so, hauting You...
Your mind, itself, a slave to this ophidian,
Do not see, anymore, me, through the prism of love,
But, unfortunately, by this, as so one, round of hydra,
Which, once, already, in Eve, had put poison...
My Love, so, do turn, to Deliverance,
Listen in you, pray the Father of all things,
Do not let, anymore, the venom of its psychosis,
Tarnish our Temple of Love, where spring the breed...
Tenebrio on March 21, at 9 am 20...
A..., L'Amour est un Temple : fin de l'Eclipse...
Amour, Âme-soeur, tu as manqué à ma vie,
Toi, mon alter-égo, ma rime et mes beaux jours,
Sans ta lumière : ni feu, ni coeur, ni esprit,
Et la vie meurt, sans ton éclat, sans ton velours...
Toi et moi, sommes le berceau et la terre,
Où, là, le bonheur, d'Amour fertile et béni,
N'a plus d'hémistiche entre nos deux hémisphères,
Il n'est qu'éternité et jouissance infinie...
Et si Dieu, de cet Amour, de cet Eden,
Ici-bas, nous en a fait, le merveilleux don,
C'est, avant tout, pour en faire, un jardin fécond,
Dont, son Amour Saint, nous a fait, nous, Roi et Reine...
Ni toi, ni moi, n'ignorons plus, qu'en vérité,
Point de Royaume, ni de paix, en dissidence,
Mais, la damnation de l'exil, et, de l'errance,
S'il y a péché, contre le Don, par Dieu, donné...
N'as-tu pas entendu, comme moi, mon Amour ?
Si son juste courroux s'est, sur nous, abattu,
C'est, pour que notre rédemption, soit, absolue,
Et, qu'enfin, libre, puisse communier, notre Amour...
Ainsi, seulement, affranchis de nos égos,
Loin, l'un de l'autre, avec, le Temps, qui, lui, dit tout,
Nous avons compris, que, craindre l'autre, est, tabou,
Car, l'Amour, est, dépendance, douce, et, sans maux...
Aujourd'hui, mon Amour, après la Noire Éclipse,
Qu'enfin, cessent, la pénitence, et, le malheur,
Que nous puissions, nous initier, au vrai bonheur,
Car, ce dernier, comme notre Amour, n'est plus esquisse...
Qu'au veule hiver, d'atermoiements, d'incertitudes,
Succède, enfin, ce beau jour, orée du printemps,
Où, enfin, enlacés l'un dans l'autre, brûlants,
Nous maudirons, l'enfer, dans cette plénitude...
Nos âmes, nos coeurs, nos corps, nus, ne seront qu'un,
Et, en cette terre sèche, soudain, nos deux sèves,
Flux et reflux, matrice suave, et, doux glaive,
S'étreigneront, pour fondre, le berceau d'airain...
Nuits et jours, dès l'aube, matins et soirs, Amour,
Nous ne seront, qu'harmonie et félicité,
Et, de notre bonheur, ainsi, ensemencé,
Ton corps de femme, se fera, crèche d'Amour...
Oui, mon Amour, ainsi, enfin, tu feras naître,
De ta féminité épanouie, la mère,
Ventre rond, tu enfanteras, de notre lierre,
La plus belle fleur, sans épines, qui puisse être...
Apollonia, déjà, son nom, avons choisi,
Lassée de n'être, toujours pas, s'essouffle et pleure,
Ne l'entends-tu pas, réclamer, de tout son coeur,
Ton retour, pour, qu'elle, enfin, puisse prendre vie ?
Oui, tous trois, sommes las, d'être tout, sauf en vie,
Pauvre de nous, marchant, chacun, comme forçats,
Coeurs apatrides, car, le vil démon, sans foi,
A fait, de notre Amour, une peur travestie...
Ne vois-tu, donc, pas, la sombre machination ?
Et, ce vil serpent, qui, à ton coeur défendant,
A rampé, jusqu'à toi, dans le sable émouvant,
De notre Amour, désert de désolation...
Là, seule, abattue, affaiblie, défaillante,
Il t'a, à toi, étendue, face au vide ultime,
Injecté, à ton insu, son venin, qui, grime,
Psychotrope, qui t'a asservie, et, te hante...
Ton esprit, même, esclave de cet ophidien,
Ne me voit plus, moi, par le prisme de l'Amour,
Mais, hélas, par celui, de cet hydre d'entour,
Qui, déjà, jadis, en Eve, avait mis venin...
Mon Amour, tournes-toi, donc, vers la Délivrance,
Écoute, en toi, prie, le Père de toutes choses,
Ne laisse, pas, plus, le venin de sa psychose,
Ternir notre Temple d'Amour où naît l'engeance...
Ténébrio, le 21mars, à 9 h 20...
