Love fragmentation...

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par Tenebrio

par @Tenebrio

R.I.P... (French version just below)

Narcissistic woman, is, no more, than, unfree,
So, in love, with, her, spurious, perverting, ego,
That, she has, any else, ultimate destiny,
Than, being, an onanist, skilled vertigo...

All life, she, will be, loveless, childless, ongoing,
She, will be, forever, this dark one-eyed cyclop,
Having, let down, daylight-free, her fertile being,
Rotting, in cave, in a, true, misanthropic sop...

Heart and soul, are, at once, eyes, and pure thesaurus,
Instead of being, both, devoutly, true-to-life,
Seem, looking, insane, real-fake spiel, and, true lies,
Discordant matters of a, latent, blindness strife...

Those prisms, reminiscent, are, bereaved moonlight,
Which, sometimes, is, a, so sobbing, fearfully ray,
Piercing, the, sadistic, and, autoimmune, judas sight,
From, Ego, Pygmalion, of which, it is the prey ...

Thus, the woman Cyclop, is, a, so vain, lover,
Pyrosis of a solitary archetype :
An, one-eyed, all, insatiable, refrains teaser,
Just, committed to, self-love, and, crowd-pleaser hype...

The beam, mid-forehead, is, her, real, damnation,
Plague, unseen, and, muted, by which, she is used,
Seeking, without stops, of all, the recognition,
So, blinded, by, her fear, of being black-listed...

Also, her, unique and claustrophobised, aim,
Is, to, beyond her greedy cannibal penchant,
By hearsay, lemmatize, her conspicuous fame,
By trapping, anyone, by her form, so gallant...

Greed, is, her, pious sesame, for, in an aside,
And, whatever, nothing, can interfere with that,
Whoever you are, no access, without pledge tied :
Sterile greatness, is, her, all life's, price and combat...

Even, Love, is vain, for this inequity-led,
And, has, no grace, nor, any redeeming virtue,
Except, as operetta's couple fantasized,
As much, Ego, is her, partial, senso-sight through...

Thus, it is an, amazing, unheard of sterile cavern,
Where, that one, on the frontispiece, is that black eye,
Having, led her, astray, from fertile love's concern,
And, in the denial, that, childing, is, hope, so nigh...

Man, is, a lamb, to the slaughter of her ego,
When, she, is, no more, than, a mechanic to snipe,
Unable, to share out, any fruitful halo,
As, she, from fertile fullness, is, a scooped-out pipe...

I am, not more, than, a common Odysseus,
I have, always, been, simply, nothing, than, one more :
Her, heart and soul, have, ever, been deleterious...
Despite, my Love, which, in tears, has gone distraught for...

Sure, since then, her virgin-widow eye, and, matrix,
Will, remain, forever, dry, and puncture-proof,
So, better, to avoid, her abuses basics,
And, flee, her pseudo-love's, a so pitiful spoof...

For sure, her time, is, just, a pathos terminal,
Seen that, above all, she, is, in such ego trip,
That, her fame's thirst, in hellish drought's matriarchal,
Will end, so, better, finally, to say her : "RIP"...

RIP...

La femme narcissique, est, un être, non-libre,
Si amoureuse de son ego parasite,
Qu'elle n'a, aucune autre, destinée, à suivre
Que, d'être, un, onaniste, vertige émérite...

Une vie, sans amour, sans enfant, pour long cours,
Elle, sera, pour toujours, ce borgne cyclope,
Ayant laissé, son être fertile, sans jour,
Pourrir, sous grotte, au sein d'un vrai soi misanthrope...

Cœur et âme, à la fois, yeux, et, purs thésaurus,
Au lieu d'être, tous deux, criants de vérité,
Semblent, avoir l'air, d'insensés, vrais-faux laïus,
Les points, discordants, d'un aveuglement larvé...

Ces prismes, réminiscents, sont, un clair de lune,
Qui, parfois, est un sanglotant rayon d'effroi,
Perçant, le judas, sadique et auto-immune,
De l'Égo, le Pygmalion, dont il est la proie...

Ainsi, la femme cyclope, est, un Amour vain,
Le pyrosis d'un archétype solitaire :
Une borgne, insatiable, allumeuse à refrains,
Dédiée, rien qu'à, l'amour de soi, et, à complaire...

Le faisceau, à mi-front, est, sa malédiction,
Peste, invisible, et, tûe, dont elle est l'instrument,
Chassant, sans arrêts, de tous, la recognition,
Aveuglée, par sa phobie, d'être mise au ban...

Aussi, son but, unique et claustrophobisé,
Est, de, au-delà de son penchant cannibale,
Par ouï-dire, lemmatiser, sa renommée,
En piégeant, quiconque, au je(u) de forme idéale...

Convoitise, est, son pieux, sésame à aparté,
Et, rien, ne peut interférer avec cela,
Qui, que vous soyez, nul accès, sans se gager :
Grandeur stérile, est, de sa vie, prix et combat...

Même, l'Amour, est, vain, pour cette iniquité,
Et, n'a, ni grâce, ou, moindre vertu rédemptrice,
Sauf, d'être, un couple d'opérette et fabulé,
Tant l'Égo, est, sa partiale sensomotrice ..

Ainsi, elle, est, une, inouïe, caverne stérile,
Où, celui-ci, au frontispice, est, cet œil noir,
L'ayant, égarée, bien loin, de l'amour fertile,
Et, dans le déni, qu'enfanter, est vue d'espoir...

L'homme, est agneau, à l'abattoir de son égo,
Quand, elle, n'est, qu'une mécanique à sniper,
Inapte, à partager, quelque fécond halo,
Toute, de plénitude fertile, évidée...

Moi, je ne suis, pas plus, qu'un Ulysse ordinaire,
J'ai, toujours, été, tout simplement, qu'un de plus :
Son âme et cœur, sont, depuis toujours, délétères...
Malgré, mon Amour, qui, de pleurs, s'est éperdu...

Sûr, dès lors, son œil de vierge-veuve et matrice,
Restera, à tout jamais, sec, et, increvable,
Donc, mieux vaut, ne pas prêter flanc, à ses sévices,
Et, fuir, sa parodie d'amour, si pitoyable...

C'est sûr, son temps, n'est plus, qu'un pathos terminal,
Vu, qu'avant tout, elle, est, dans un tel égo trip,
Que, sa soif de gloire, en sécheresse infernale,
Va finir, donc, autant, enfin, lui dire : "RIP"...