Adieu Vendetta...
Ombre, j'ai oublié, jusqu'à ta silhouette,
Quand, toi, là, encore et encore, et, toujours plus,
Tu, persistes, à réduire, ma vie, en miettes,
En, t'érigeant, comme mon temple de Vénus...Tu sais, si, moi-même, un vain moment, je l'ai crû,
J'ai compris, après des mois, seul, à labourer,
Que, ta couche arable, avec ou sans charrue,
Ne, laisserait, que, ton égo, l'ensemencer...Tu ne vis, que, pour être, à l'Amour, terre aride,
Tu es, gueuse, et, avide, d'engrais et de purin :
Tu en es, si férue, que, ta souche, est putride...Rien n'y pousse, sauf, tes voeux pieux sans lendemain,
Dont, la glaise, ô mère-veuve, s'assèche en toi :
Tu n'es, qu'un limon stérile, où, l'Égo, est, Roi...(C)Ténébrio, le 24 juillet 2015, à 20H55...