Mytho-romantisme...

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The Valknut's Love-ire...

Dedicated to ...

Beyond your silence of icy echoes,
The night full of your screams from hereafter,
Do let resonate thickness of fjords shadows,
And the bitter viking where your sun has set...

You are my dark, my sunk, orphan muse,
Your reason is exhausted, staggering, and so void,
You feel, your heart, your soul, in tears and stateless,
And your body, lax, anxious, recriminating you...

Widow, afire, tormented, on the edge of the cliff,
The sight closed, extinct, suspended to the abyss,
Under your feet, the infertile land of clay,
And, the cold iron ice , which preserves and outdates...

There, love is nothing but a sinister death knell's horn,
Suddenly, on a breath, Ragnarök, three winters,
And, Vígríd, from where, finally, stirred up valkyrie,
You decry, about your noble battle, the hell...

All hearten cross, burning in the Valhalla,
Love, submerged, by streams and pagan flames,
You are fighting, your ego, and its dreadful Edda,
Of which, the drunken ire, is a lyre, cornified, infamous...

As for it, of which ode to love, is just an endless passing on,
Burning Holy Trinity at Valknut stake,
Offering, only, slain node, and, brazen drakkar,
And, to our love, its sterile anacoluthon...

Despite the pain, fear, this Eden of stones,
Your barren soul's melancholic flow has come to me,
And i, from your aflamed bottle into the sea,
Have drunk, mead, still raw, but, at least, naked...

Tenebrio, May 13, 2015 at 7:15 P.M...

L'Amour-ire du Valknut...

Dédié à...

Au-delà de ton silence aux échos glacés,
La nuit pleine de tes hurlements d'outre-tombe,
Laisse résonner l'épaisseur des fjords d'ombres,
Et l'amer viking où ton soleil s'est couché...

Tu es, ma sombre, ma sombrée, muse orpheline,
Ta raison s'épuise, chancelante, et, si vide,
Tu sens, ton coeur, ton âme, en pleurs et apatrides,
Et ton corps, lâche, angoissé, qui te récrimine...

Veuve, à feu, tourmentée, au bord de la falaise,
Le regard clos, éteint, suspendu à l'abîme,
Sous tes pieds, l'infertile terre de glaise,
Et, la glace au fer froid, qui, conserve et périme...

Là, l'Amour n'est plus qu'un cor au sinistre glas,
Soudain, d'un souffle, Ragnarök, ses trois hivers,
Et, Vígríd, d'où, enfin, valkyrie à émois,
Tu décries, de ta noble bataille, l'enfer...

Toute croix de coeur, brûlant dans ce Valhalla,
L'amour, submergé, de flots, et, païennes flammes,
Tu combats, ton égo, et, sa funeste Edda,
Dont, l'ivre ire, est une lyre, cornée, infâme...

Lui, dont l'ode à l'Amour, n'est qu'un trépas sans fin,
Ardant Sainte-Trinité au bûcher Valknut,
N'offrant que, nœud des occis, et, drakkar d'airain,
Et, à notre Amour, sa stérile anacoluthe...

Malgré la douleur, la peur, cet Eden de pierres,
Ton vague à l'âme inféconde m'est parvenu,
Et, j'ai, de ton enflammée bouteille à la mer,
Bu, l'hydromel, toujours à vif, mais, enfin, nu...

Ténébrio, le 13 mai 2015, à 19H15...

Inner seasons...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant